RECEUIL DE TEXTES POUR LES ENFANTS

Sommaire

Avant-propos

Il m’arrive de décrire le coach comme un conteur d’histoires en ce sens que le rôle du coach n’est pas de dire aux gens ce qu’ils doivent savoir ou faire mais de plutôt les amener à tirer eux-mêmes leurs résolutions de ce qu’ils entendent.

Ainsi donc, l’un des outils essentiels dont le coach a besoin est un recueil de textes dont le partage permettra au coaché de prendre des résolutions.

Pour illustrer mon propos, j’aimerais vous  partager  une  légende  qui circule à propos du paradis et de l’enfer. Selon cette légende, les ancêtres africains avaient composé des histoires dont la finalité est de peindre un paradis fantastique réservé à ceux qui se comportent bien et un enfer terrible réservé à ceux qui se comportent mal dans le but d’amener les enfants à prendre la résolution de se comporter bien.

Selon toujours la légende, ces histoires étaient tellement bien conçues que les auteurs des Saintes Écritures ont eux aussi cru en le paradis et en l’enfer au point d’en faire une évidence, une certitude. *

Cette légende nous donne une idée du pouvoir des histoires et donc des textes pour coacher les enfants, les parents, les couples, les femmes, les leaders, etc… Voilà pourquoi le recueil des textes pour le coaching des adolescents.

45 textes issus du tonus des adolescents dont le but est de changer des vies. Ils sont utiles d’abord et avant tout pour le coach qui a pour vocation de coacher les adolescents, pour les enseignants, pour les parents, etc.

Que DIEU bénisse les champions de demain avec ces textes conçus avec amour.

Coach Patrick Armand POGNON

Professeur Émérite en Coaching Intégral, Président- Recteur de l’Université du Coaching Intégral,

Président de l’Association FIAD-MONDE, Président de l’Ordre des Coachs en Développement Intégral,

PDG de ATQM-SA,

Promoteur de Wiki Réussites et de Coaching TV

FAIS TA PART ET DIEU FERA LE RESTE

Je vais vous raconter 5 petites histoires.

Marc un jeune garçon est allé à l’examen. De retour à la maison, ses parents lui demandent s’il a travaillé. Contre toute attente, Marc a répondu : j’ai fait ma part, Dieu fera le reste. Une fois les résultats annoncés, Marc a réussi à l’examen.

Shekina a été au CEP. Une fois à la maison son maître d’études lui demande de faire le corrigé de l’épreuve au tableau. Elle fit le corrigé et le maître d’études dit que tout ce qu’elle a fait est faux et qu’elle va échouer. Shekina a simplement répondu au maître d’étude que le seigneur ira là-bas changer la copie pour qu’elle puisse avoir un bon résultat. À la proclamation des résultats, Shekina a eu le CEP.

Ma troisième histoire concernant toujours Shekina. Quand elle a eu le CEP, elle devait aller chez sa grande mère au Canada. Une voisine lui dit qu’elle n’aura pas le visa pour voyager. Elle répondit à la voisine. Je ne sais pas pourquoi tu parles comme ça, mais le seigneur a déjà signé le visa. Ce sont mes parents qui ne sont pas encore allés le chercher. Effectivement quand les parents sont allés là-bas, le visa a déjà été signé.

Un enfant en classe de 5e était amené à coach POGNON, un enfant traité de taré, car à l’époque il avait 5 de moyennes, mais grâce à un coaching où je lui ai demandé de faire sa part et laisser Dieu faire sa part, à la fin de cette année cet enfant passe le BEPC et réussi. Tu peux être aussi le meilleur et tu dois être le meilleur. C’est à ton tour d’être le meilleur cette année. Démontre à tous ceux qui doutent de toi que c’est maintenant que ça commence, qu’ils vont voir ce qu’ils vont voir.

Un enfant de Bobo-Dioulasso a suivi le coaching des adolescents avec le coach POGNON. À cette séance, le coach POGNON a dit, si vous

avez une motivation pour réussir, vous allez réussir. Une fois à la maison l’enfant demande à sa maman : «maman, qu’est-ce que vous allez me donner si je réussis ?», la maman lui répond : «ce que tu veux». À la suite de cette réponse, cet enfant qui n’a jamais été parmi les vingt premiers de sa classe est devenu premier. La maman lui demande son secret, il répond, j’ai fait ma part et Dieu a fait sa part.

C’est à cause de ces histoires que je te demande de faire ta part pour que Dieu aussi fasse sa part.

Dieu est le patron, celui qui est capable de tout. Il est illimité ; il fait ce qu’il veut quand il veut. Il peut rentrer dans une maison même quand les portes sont fermées. Dieu personne ne peut le battre. Il est le plus fort et devant lui, toute pagaille s’arrête.

Faire ta part veut dire : fais confiance à Dieu. Tu as un examen à passer ; apprends tes leçons, va à l’examen, écris ce que tu dois écrire et laisse Dieu faire le reste. Si quelqu’un te demande si tu vas réussir, dis-lui : je vais réussir parce que Dieu fera sa part.

Peu importe ce que les gens te diront, tu dois répondre avec assurance et force : il n’y a rien à faire, Dieu va faire sa part.

LE VŒU D’OBÉISSANCE

L’obéissance c’est respecter les règles, s’en tenir aux prescriptions, à ce qui est dit. À l’école, l’une des règles est qu’on ne bavarde pas aux heures de cours. Obéir, c’est donc s’en tenir à cette règle et ne pas bavarder quand le professeur fait le cours.

Ceux qui réussissent leurs vies s’en tiennent aux règles. Il faut donc apprendre à obéir aux règles dès maintenant pour garder cette bonne habitude. Il est même dit que celui qui veut être le chef doit savoir servir les autres. Pour bien servir les autres, il faut leur obéir. C’est en obéissant aux autres qu’ils pourront nous obéir en retour.

Un vœu est une promesse faite à Dieu. Quand je promets quelque chose à Dieu, je peux dire que j’ai fait un vœu. Le vœu d’obéissance est un engagement que je prends vis-à-vis de Dieu.

Le vœu d’obéissance est premièrement un engagement à reconnaître que devant Dieu, je ne connais pas.

Deuxièmement, c’est une volonté d’apprendre auprès de Dieu afin qu’il puisse m’enseigner.

Troisièmement, le vœu d’obéissance est un engagement à appliquer ce que Dieu va m’enseigner.

Le vœu d’obéissance c’est donc être dans le non-savoir vis-à-vis de Dieu, être prêt à apprendre, mais également être engagé à appliquer, obéir à ce que Dieu va me dire.

Nous avons tous besoin de faire le vœu d’obéissance pour que Dieu nous enseigne afin qu’en appliquant on puisse réussir. Quand tu es dans le non-savoir que tu apprends et appliques, tu verras que tu seras en bonne santé, tu auras de bonnes notes, tu vas réussir dans tout.

On peut apprendre de tout le monde, de nos parents, de nos enseignants et de tous ceux qui nous entourent.

Surtout, quand tu apprends quelque chose mets-le en application.

À l’école tu as appris qu’avant de manger, il faut se laver la main alors commence par le faire. C’est pour ton bien et c’est ça le vœu d’obéissance.

LE POUVOIR DE LA GRATITUDE

La gratitude est une attitude mentale, comportementale et verbale vis- à-vis de quelqu’un qui nous fait du bien. Il peut s’agir d’un bien passé, présent ou futur. La gratitude est au-delà de dire simplement merci. Quand je parle de gratitude, il s’agit d’être vraiment reconnaissant. Je pense qu’on m’a fait du bien, je ressens de la joie vis-à-vis de ce qui m’a été donné et je suis reconnaissant envers celui qui m’a fait ce don.

C’est important d’être reconnaissant envers tout, envers Dieu sans qui rien n’est possible et avec qui tout est possible. Il est important d’être reconnaissant à l’égard de Dieu pour le bienfait passé, présent et pour les bienfaits à venir.

Ensuite, c’est important d’être reconnaissant envers les parents. Après Dieu, papa et maman sont les êtres humains que nous devons aimer, chérir le plus. Il faut ensuite être reconnaissant envers ton corps. Grâce à ton pied, tu arrives à marcher, tu joues ; grâce à tes mains, tu prends de la nourriture, tu écris ; grâce à ta bouche, tu parles ; grâce à tes yeux, tu vois.

Ce n’est pas fini mon merveilleux enfant. Tu dois également être reconnaissant envers toutes les personnes qui te veulent du bien, les enseignants. Car les professeurs veulent nous apprendre les bonnes choses pour que nous puissions évoluer et réussir. Malgré le fait qu’il arrive que le maître de classe ou le professeur te chicote, tu dois lui être reconnaissant, car s’il le fait c’est parce qu’il veut te voir réussir.

J’ai connu aussi ces moments où les maîtres me frappaient. Quand cela arrivait, je pensais qu’ils ne m’aimaient pas, qu’ils me voulaient du mal, mais j’ai finalement compris. C’est tout le contraire. Ils me voulaient du bien. Et c’est grâce à ces quelques coups que je me suis ressaisi.

Aujourd’hui si je pouvais voir tous les maîtres ou directeurs d’écoles, je serai très content, car je vais pouvoir leur témoigner toute ma reconnaissance.

Celui qui nous laisse faire tout ce que nous voulons, celui qui nous laisse faire notre désordre, ne nous aime pas. Il nous prépare à notre échec.

Nous devons apprécier et être reconnaissants envers nos professeurs, parents qui de temps en temps nous recadrent.

Soyons également reconnaissants pour les petites choses comme  pour les grandes. Apprécions chaque chose qu’on nous donne afin de recevoir de plus grandes. Sois content et reconnaissant pour le petit pot de yaourt que papa t’a donné aujourd’hui afin d’en avoir un plus grand demain.

Une personne qui est reconnaissante sera heureuse. Oublie tout le mal qu’on t’a fait et retiens les bonnes choses, car celui qui a plus de bons en lui est heureux. Celui qui décide d’exercer le pouvoir de la gratitude a choisi le chemin du bonheur. Sois reconnaissant pour tout dans ta vie.

Tous les soirs avant de dormir, trouve une raison pour dire merci. Merci que ce soit à Dieu, à papa et maman ou à ton corps. La gratitude est un de mes secrets qui fait que je suis toujours en bonne santé, que je reçois beaucoup de cadeaux et que je réussis beaucoup de choses. Applique-le aussi si tu veux tout gagner.

LA CONFIANCE EN SOI

Un jour, un grand roi planta beaucoup de plantes, d’arbres et de fleurs autour de son royaume. Un beau jardin qui le rendait énormément fier. Un jour, il partit en voyage. À son retour, il se désolait de voir que tous ses arbres, toutes ses plantes et toutes ses fleurs étaient en train de se dessécher. Il s’avança alors vers le pin autrefois majestueux et lui demanda ce qui s’est passé. Le pin répondit : j’ai regardé le pommier et j’ai vu que jamais je ne porterai d’aussi beaux fruits que lui et je me suis dit à quoi bon vivre. Je me suis mis à me dessécher.

Le roi s’avança vers le pommier qui répondit à son tour : j’ai regardé la fleur et je me suis dit, je n’aurai jamais son parfum et sa beauté. Je me suis donc mis à me dessécher.

Le roi demanda à la rose qui se déterrait aussi, elle répondit : comme je n’ai pas l’âge de l’érable et que mes feuilles ne changent pas de couleur à l’automne je me suis dit à quoi ça sert de vivre et de continuer à produire des fleurs. Je me suis donc mise à me dessécher.

Dans son exploration de son jardin, le roi aperçut une magnifique fleur pleine de vie et lui demanda : comment se fait-il que tu sois toujours vivante ? Elle répondit : à un moment donné, j’ai commencé à mourir parce que je me disais que je n’aurais jamais la majesté du pin ou que je n’aurais jamais le parfum de la fleur ou que je ne porterai jamais d’aussi beaux fruits que le pommier. Alors je me suis mis à mourir, mais je me suis dit : si le roi qui est riche, puissant et sage m’a planté au lieu de quelque chose d’autre c’est qu’il me voulait tel que je suis. Alors je me suis promis d’être la plus belle possible dans ce jardin.

Mon cher, Dieu, le plus grand des rois t’a créé comme tu es parce qu’il te veut comme tu es. D’où la confiance en soi qui est aussi la confiance en Dieu qui t’a créé.

La confiance en soi veut tout simplement dire avoir foi en moi-même, croire que moi aussi je peux gagner, moi aussi je peux réussir, moi aussi je peux être grand. Tu dois croire en toi afin de tout gagner, répéter jusqu’à y croire : je peux, oui je peux, je puis tout par Dieu qui me fortifie. Tu dois te répéter en tête « moi aussi je peux » et tu vas tout réussir.

Fais confiance en toi-même et Dieu va utiliser papa, maman et les autres pour t’aider, mais toi tu dois juste avoir confiance en toi-même parce que les autres ne seront toujours pas là.

Les paroles négatives des autres peuvent détruire ta confiance, mais  à toi de faire en sorte que leurs paroles ne s’installe pas en toi. Si quelqu’un te dit : tu ne peux pas, tu dois lui répondre que tu peux. Tu dois te répéter tout le temps que tu vas réussir parce que Dieu qui est en toi te donne la capacité de tout réussir.

Ne laissez personne vous faire douter de vous-même. Vous pouvez y arriver, vous allez y arriver, mais pour cela il faut le répéter : j’ai le droit de réussir, j’en suis capable, je vais réussir maintenant, je suis le succès, je suis le meilleur, je suis compétent et doué.

LES ENFANTS DU COACH POGNON SONT TOUJOURS EN BONNE SANTÉ

Pour beaucoup de personnes, la maladie est quelque chose de normal. Nombreuses sont les personnes qui estiment que tout être humain peut et doit tomber malade au cours de sa vie.

C’est pourtant une erreur de penser cela, pour ma part, la maladie est une bêtise, une anomalie qu’on a mise dans notre cerveau et que nous devons enlever de notre tête et par conséquent de notre vie.

Vous me direz, et pourtant on tombe malade, certains enfants se préparent même à tomber malade au début de la rentrée. Les parents et les médecins ont même une explication à ce phénomène. Dans ces conditions, comment croire que la maladie est une bêtise et n’existe pas.

Pour rester en bonne santé et pour toujours, les soi-disant spécialistes un peu partout dans le monde disent qu’il faut faire du sport, surveiller son alimentation, faire régulièrement des analyses etc.

Hugo Chavez, l’ancien président vénézuélien, un grand chef d’Etat   a été suivi par au moins 10 médecins chaque jour, pendant près de  20 ans et a fini par mourir d’une maladie que ces médecins n’avaient même pas détecté.

Allons plus loin, est-ce que vous avez déjà vu un fou malade ? Moi je n’en ai jamais vu et pourtant le fou ne fait pas de sport, mange tout  ce qu’il trouve un peu partout, n’a aucune hygiène et pourtant il ne tombe pas malade.

La solution pour une santé parfaite et durable n’est donc ni dans le sport, ni dans un rééquilibrage alimentaire ni dans les médicaments. C’est bien de faire du sport bien manger et avoir une bonne hygiène mais le secret pour la santé parfaite est tout autre.

Plusieurs médecins ont fait des recherches pour comprendre pourquoi les gens tombent malade, l’un d’eux, qui se nomme CARL O. SIMONTON à découvert 4 raisons qui font que les gens tombent souvent malade :

Premièrement, une mauvaise image de soi, c’est-à-dire une mauvaise perception de soi peut nous rendre malade. Quand on ne sait pas qui on est, quand on ne sait pas qu’on est important, précieux, privilégié, la maladie peut nous défier, peut nous narguer, mais quand on sait qu’on est les enfants de Dieu, les enfants du Coach POGNON, les enfants protégés par Dieu lui-même, aucune maladie ne peut oser s’approcher de nous.

La seconde cause de toute maladie selon le docteur SIMONTON est une absence d’ambitions et de rêves pour les années à venir. Avez- vous déjà pensé au métier que vous voulez faire plus tard ? Imaginez- vous en train de faire ce métier, en train d’accomplir votre rêve. Si vous rêvez d’être Avocat, Docteur, Homme d’Affaires, imaginez-vous entrain de soigner les gens, de défendre vos clients ou vos dossiers. Rêvez de votre futur et aucune maladie ne pourra vous provoquer. Dans les moments difficiles, on constate presque toujours que ceux qui se projettent dans l’avenir, se voient dans l’avenir, arrivent à s’en sortir.

La troisième cause de toute maladie est un apitoiement sur soi ou le fait de se plaindre. Quand on parle de s’apitoyer, c’est se lamenter et se lamenter, c’est se plaindre à propos de tout et souvent. Il nous arrive très souvent de nous plaindre, de murmurer, parfois même de pleurer parce que papa ou maman nous empêche de faire quelque chose. Il s’agit là d’une cause de maladie.

La quatrième et dernière cause de toute maladie est un manque d’amour pour soi, pour les autres et un refus de pardonner. On dit souvent que le bien attire le bien, de la même manière, quand on est heureux et en bonne santé, on attire la santé.

En plus de surveiller en permanence ces aspects pour rester en bonne santé, il est important de surveiller ce qui sort de notre bouche et aussi nos humeurs. Evitons au maximum de dire je suis malade, ou encore je me sens mal ou même je ne me sens pas bien.

La maladie fuit les personnes qui sont heureuses, de bonne humeur, dansent et crient qu’ils sont en bonne santé.

Loin de moi l’idée de vous dire, que si par erreur, vous vous sentez mal, vous ne devriez pas le dire à vos parents. Dire ce qu’on ressent n’est pas un problème mais répéter tout le temps cela va l’amplifier, le grossir, l’aggraver.

Ce que le docteur SIMONTON veut nous apprendre en nous conduisant à travailler notre connaissance de soi, notre conscience de soi, notre estime de soi, notre confiance en soi, ce qu’il veut nous faire gagner en nous amenant à avoir des ambitions pour l’avenir, ce qu’il veut nous faire gagner en nous invitant à ne pas nous lamenter, en nous incitant à aimer et pardonner, c’est l’activation de notre force intérieure, c’est l’activation de Dieu en nous.

En effet, le docteur PINTAGRAF, un médecin américain, après avoir observé les personnes qui tombent malade, et celles qui ne tombent pas malade, les personnes qui guérissent, a montré que chaque Homme a en lui une force qui, activée, l’amène à ne jamais tomber malade, ou à guérir. Cette force, c’est Dieu en nous.

Grâce au développement personnel, à notre envie de savoir, à notre ouverture d’esprit, à l’affirmation de phrases positives sur soi, on active sa force intérieure, on active Dieu en soi et on fait peur à la maladie qui ne peut plus venir là où on est, qui traite les maladies par radio thérapie.

Retenez une chose chers enfants : tous les jours, ne dites jamais des choses négatives. Et tous les matins en allant à l’école répéter : je suis la santé, je suis le meilleur, je suis le succès

Mes chers enfants, devenons la terreur de Dieu contre la maladie, c’est possible grâce au développement personnel, grâce au coaching.

L’IMPORTANCE DE S’OUVRIR AUX PARENTS

Un parent, c’est un papa, une maman, les tantes et oncles, c’est coach POGNON ; c’est toute personne vers qui tu peux te tourner pour avoir l’accompagnement nécessaire. Un parent c’est toute personne qui te permet de profiter de ses expériences. Ça peut être ton professeur, ton voisin ou tout simplement celui qui contribue à ton éducation.

S’ouvrir à ses parents, c’est parler, exprimer ce qu’on pense, ce qu’on vit, ce qu’on envisage, avec eux pour profiter de leur expérience et ne pas perdre du temps.

Les enfants qui refusent de s’ouvrir à leurs parents perdent la possibilité d’éviter les erreurs. Ils gardent les préoccupations en eux et finissent par tomber dans la dépression.

Si tu as des préoccupations qui te posent problème, ça veut dire que c’est ta compréhension, c’est ta perception de cette situation qui te pose problème. Tu dois donc t’ouvrir à tes parents pour entendre  leur compréhension, leur expérience et leur point de vue. Si papa ou maman ne sont pas disponibles, vous pouvez aller vers un oncle, vers une tante ou appeler coach POGNON.

Ouvrez-vous à vos parents, parlez avec eux et profitez de leur expérience pour vivre heureux et tout gagner.

Une expérience, c’est du vécu. C’est ce que j’ai vécu qui a créé en moi des sensations, des émotions. c’est ce que vous avez fait de ce que vous avez vécu.

Vous pouvez parler de tout avec eux. Racontez ce que vous ne comprenez pas à l’école ou ce que vous trouvez bizarre. Cela vous permet d’apprendre beaucoup de choses, de profiter de leurs expériences et de murir votre intelligence pour de ne pas faire des erreurs ou bêtises.

Un enfant, selon les conventions internationales est quelqu’un qui a moins de 18 ans. Dans le coaching, tout le monde même après 18 ans est un enfant car il a encore un père dans les cieux.

Les droits sont des prérogatives, des choses qui nous ont été accordés et qu’on doit nous donner. On peut définir le droit selon le droit objectif ou selon le droit subjectif. Ici il s’agit du droit objectif, du droit accordé à quelqu’un.

Les enfants ont justement beaucoup de droits : le droit à la protection, le droit à la nourriture, à la santé, à l’éducation, le droit à un logement, le droit de se vêtir, le droit de jouer, le droit de parler.

L’occupation de vos vacances par l’école est une violation des droits des enfants parce que l’enfant a droit aux loisirs, de s’amuser et les parents doivent protéger l’enfant et ses droits. La suppression de loisirs au cours de votre année scolaire est encore une fois violation des droits des enfants. Vous devez vous amuser quand il le faut, suivre, regarder la télévision et faire de nouvelles choses afin d’augmenter votre créativité.

J’ai suivi un médecin sur radio Bénin qui disait très facilement et très naturellement des choses suffisamment fortes. Il dit que la plupart des enfants privés de congés et de vacances à cause des cours de vacances, des cours de rattrapage, à cause des cours de renforcement et autres, vont tous finir fonctionnaire. Par contre les enfants qui ont eu le droit aux congés, aux loisirs et autres, vont tous développer leurs capacités à crier et vont devenir donc des hommes d’affaires qui dominent le monde, qui dirigent monde, qui ont la capacité d’influencer le monde. Quelqu’un a dit, que c’est quand-mêmes bizarre que les plus intelligents soi-disant finissent fonctionnaire ; que les moins intelligents finissent

DROIT ET DEVOIR DE L’ENFANT

homme d’affaire, riche, puissant et dominent le monde ; et ceux qui n’ont ni réussi à l’école, ni dans les affaires, deviennent des hommes politique et sont élus pour diriger les autres.

Si il arrive que les droits soit sont violés, il faut négocier avec les parents et non revendiquer. Vous savez, mes chers enfant, il suffit de faire notre plus beau sourire aux parents, de leur dire combien nous les aimons, et ils acceptent ce que nous voulons.

Vous devez flatter vos parents, leur faire plaisir, les rendre contents. Vous pouvez profiter de cet instant pour déposer vos doléances.

Par contre, vous n’avez pas le droit de revendiquer vos droits, mais vous avez plutôt le droit de les négocier. Écoutez bien chers enfants, en utilisant la revendication vous perdrez tout. Même quand vous grandirez, dans votre couple, dans vos relations, dans vos affaires, utilisez toujours la négociation parce que la revendication fait perdre. Les enfants ne peuvent pas revendiquer leur droit parce que s’ils le font, ils vont violer un de leur devoir.

Parlant des devoirs, le premier devoir d’un enfant c’est la soumission. Tu as le droit à la protection de tes parents tout comme ton devoir est de te soumettre à eux ? ce n’est pas à toi de revendiquer ou de porter des jugements sur leur comportement parce que tu n’es pas qualifié pour ça.

Un enfant qui ne travaille pas à l’école viole ses devoirs vis-à-vis de ses parents. Ils se sont battus pour te protéger, te nourrir, te soigner, payer ta scolarité, tes loisirs et autres, et en retour tu n’apportes pas de bonne note, cela veut dire que tu as trahis ta mission, tu as violé les devoirs et l’enfant et pour ainsi dire, les droits des parents.

Les parents ont droit à la soumission à eux, au respect, à la réussite, au succès etc…

Alors faisons nos devoirs pour ne pas violer les droits des parents afin que nous puissions négocier nos droits auprès des parents.

APPRENDRE À DIRE MERCI

Avant tout, cherchons à comprendre ce que veut dire, «APPRENDRE» et «DIRE MERCI»

Apprendre, c’est capter des informations pour améliorer sa vie, pour mieux vivre. En un mot, apprendre c’est savoir et quand on sait, on fait ce qu’il faut et l’on gagne tout. Plus j’apprends, plus j’aurai d’amis, plus j’aurai confiance en moi-même, plus je serai fort et courageux, plus fier de moi-même ; plus j’apprends ; plus mes parents, mes amis, tous ceux qui m’entourent m’aiment et je vis tous les jours dans une joie parfaite.

Dire merci, c’est une reconnaissance, un pouvoir de témoigner sa satisfaction à quelqu’un. Dire merci est un pouvoir immense. Un jour, coach Patrick Armand POGNON a promis donner une moto à une  de ses amies. Dès qu’il a promis, elle s’est mise à danser sur la route, à dire merci, à témoigner de la reconnaissance.

Tellement elle était contente, reconnaissante tout en remerciant que  le coach lui a offert cette moto le plus tôt possible alors qu’il n’avait même pas beaucoup d’argent quand il promettait, IL faisait juste une blague au début. C’est la même chose qui se passe avec Dieu, nos amis, parents lorsque nous reconnaissons leurs bienfaits dans notre vie.

Nous devons apprendre à dire merci. Si nous savons dire merci, nous gagnons tout de tout le monde. Mais quand nous ne savons pas dire merci, nous perdons même ce que nous avons.

Quand tu dis merci à papa ou maman quand ils promettent de t’acheter un cadeau, sans qu’ils aient déjà fait l’achat, ils sont contents et ont même envie de te donner plus. Il faut dire merci pour tout ; même pour le cadeau que tu n’as pas encore reçu.

Nous devons dire merci pour tout ce que nous avons le privilège d’avoir: merci pour la note que Dieu m’a permis d’avoir, merci pour la vie de mon enseignant, merci pour la vie de mes encadreurs, merci pour mon corps, merci pour mes yeux, merci pour mes pieds, merci pour tous mes organes qui fonctionnent bien et très bien, merci aux animaux qui me donnent de la joie, merci à la vie.

Nous devons dire merci non seulement à ceux qui nous font du bien, mais également à ceux qui nous font du mal, car grâce à eux, nous grandissons, nous devenons plus forts et résistants à toute situation de la vie. Merci, merci et merci à Dieu de nous avoir créés dans ce monde merveilleux et beau. Merci

LE COMBAT DE CARACTÈRE

Mon seigneur ISIDORE DE SOUZA dira: «lorsque ce que vous voulez dire n’est pas au-dessus de ce que les autres ont déjà dit, faites violence sur vous-même» c’est le combat de caractère.

Quand je découvre un bon comportement que je dois ajouter à mon caractère pour pouvoir réussir, je dois tout faire pour ne pas laisser l’ancien caractère s’imposer et m’empêcher de faire cet ajout.

Par exemple si vous avez des émotions négatives, vous bloquez vos bénédictions, alors si vous vous aimez vraiment vous allez faire le combat de caractère pour éviter les émotions négatives. Un autre exemple. S’il est dit, pour être heureux il faut accepter les critiques, si tu t’aimes vraiment ou que tu aimes la réussite, tu feras le combat de caractère pour accepter les critiques afin de réussir.

Lorsqu’à l’école ou dans une formation, il est dit, voilà comment faire telle ou telle chose, c’est un axiome, quand on le fait on réussit et quand on ne le fait pas on échoue, je n’ai pas à hésiter. Je ferai ce qu’il faut pour réussir.

Le combat de caractère consiste à faire en sorte que ce qu’on me reproche et qui empêche mon développement, qui empêche ma réussite, qui empêche mon bonheur, qui étouffe les autres autour de moi, je puisse changer ça pour mon bonheur et pour le bonheur de ceux qui m’entourent.

Pour le faire, c’est très simple, un monsieur avait l’habitude de fumer de la cigarette et il veut en finir parce qu’il a compris que la cigarette est une mauvaise chose et tue. Il a donc dit ceci : «le jour où quelqu’un me verra en train de fumer je lui donne 10.000 francs CFA» chaque fois qu’il veut allumer une cigarette il voit les 10.000 francs CFA qu’il doit payer et il éteint.

Qu’est-ce que ce monsieur a fait ? Il s’est orienté vers ce qu’il faut pour ne plus souffrir, alors lorsque j’apprends que pour réussir, il faut telle ou telle chose, je me bats pour développer cela. Le Coach Patrick Armand POGNON était un homme très nerveux. Un jour, quelqu’un lui a dit ceci «si tu continues comme ça tu vas mourir de colère» alors il a décidé de changer et il l’a fait. C’est ça le combat de caractère.

Qu’est-ce qu’on te reproche souvent ? Pour appliquer le combat de caractère, il faut que tu fasses tout ton possible pour perdre la mauvaise habitude que papa, maman ou le maitre n’aime pas.

TOUT LE MONDE EST UN GÉNIE

Un génie est quelqu’un qui a un talent exceptionnel. C’est quelqu’un que Dieu a fait spécialement et qui est capable d’être le meilleur dans tous les domaines. Lorsqu’on prend USAIN Bolt, on dira que c’est un génie, car il a un pied et demi, mais il est le meilleur athlète.

Dans le milieu musical, il y a des génies, dans le football, il y a des génies, en médecine il y a des génies, bref dans tous les domaines de la vie il y a des génies. Dans le domaine de l’économie, il y a un génie béninois qui aide la France à gérer son économie. Il s’appelle Lionel ZINSOU.

Le génie est quelqu’un d’exceptionnel. Quand il prend quelque chose, il le fait mieux que tout le monde. Tout le monde peut être un génie, c’est-à-dire faire des choses exceptionnelles comme toi. Le roi Kaba est un génie. Il chicotait correctement l’armée occidentale. Tu es un génie, une personne exceptionnelle que Dieu a créée. Je peux te dire que même dans ta famille, à part toi, il y a beaucoup d’autres génies. De nombreuses personnes laissent sommeiller ce génie en eux parce qu’ils n’ont pas connu le coaching intégral comme toi.

Pour réveiller le génie qu’il y a en chacun, Il faut une personne qui nous pousse à faire mieux, une personne qui croit en nous. Une personne qui te rappelle que tu es intelligent, que tu es le meilleur, que tu es bon. Pour être sûr que notre capacité à réveiller le génie en nous ne dépend pas de quelqu’un, nous devons être notre propre griot.

Le griot est une personne dont le métier est de chanter les louanges de quelqu’un, de dire combien de fois un individu est important afin qu’en le disant, il suscite en lui fierté, assurance, la grâce, etc. Un jour, griot par sa déclamation, a transféré à son roi la force nécessaire pour tuer un lion.

Le roi dont il s’agit est le roi Kaba. Un souverain du nord du Bénin. C’est un roi très important et très fort. Un jour, il est allé dans la forêt avec son griot. Ils ont vu un lion. Le griot a fui parce qu’il n’est pas roi. Le roi voulait également fuir quand son griot se mit à le louer.

-Eh roi Kaba ! Oh roi qui n’a pas peur du lion ! Oh roi qui tue le lion ! Oh roi tout-puissant !

À un moment donné, le roi ne savait pas quand il a sauté sur le lion et l’égorgea. C’est ainsi qu’il a tué le lion, car son griot lui a transféré une force par sa parole. La parole du griot lui a donné la confiance, l’énergie, le courage qui le poussa à la victoire.

Nous devons être notre propre griot. Donc, moi-même, je dois me dire combien de fois, je suis important, je suis ceci, je suis cela. En plus de cela, vous avez un griot de tous les jours, qui est le coach Patrick Armand POGNON. Si vous êtes dans n’importe quelle situation, rappelez-vous les paroles de votre griot, le coach POGNON. De façon pratique, pour être son propre griot, il suffit de répéter les phrases positives sur soi-même, en faisant le malin, l’important, quand je vais quelque part. Je suis le meilleur, mon heure a sonné.

Si je suis le bon griot de moi-même, je vais absolument tout réussir. Il faut que nous devenions notre propre griot pour à tout moment répéter les phrases positives sur nous pour tout réussir et réveiller le génie en nous.

À partir de maintenant, tu ne dois laisser personne tuer le génie qui vit en toi. Révèle-toi au monde. Montre à tout le monde que tu es    un enfant du coach POGNON. Dis aux personnes qui te minimisent que tu es un génie, le meilleur, un être intelligent et doué capable de merveilleuses choses.

LA FRATERNITÉ HUMAINE

La fraternité consiste à considérer l’autre comme une partie de moi, à considérer l’autre comme moi, à reconnaître et accepter que lorsque je fais du mal à l’autre, c’est à moi-même que je l’ai fait. La fraternité, c’est aimer son camarade, son voisin, son frère ou sa sœur comme soi- même.

C’est accepter l’autre tel qu’il est. À chaque fois que tu blesses quelqu’un, tu ressentiras aussi de la douleur. À chaque fois que nous insultons une personne, nous nous insultons indirectement. Pour éviter cela,    il vaut mieux vivre en fraternité, en amour avec toutes les créatures vivantes que tu croises.

La fraternité n’est pas une question en rapport avec la famille ou   une question de proximité. C’est pour te dire que quand on parle de fraternité, ça veut dire que tu dois aimer, respecter toutes les personnes que tu croises dans la vie.

Il n’y a pas de différence entre les habitants du nord, du sud, de l’est, ou de l’ouest d’un pays. Ce n’est pas parce que je suis à Cotonou que l’autre qui est à Parakou n’est pas mon frère. Également, il n’y a pas de différence entre les habitants d’un continent et d’un autre continent.

Nous sommes tous les mêmes personnes, nous sommes des frères, c’est le même sang qui circule dans nos veines. Celui qui habite sur le continent européen est mon frère comme celui qui habite sur le continent asiatique même si moi je suis sur le continent africain.

Tu es mon frère, je suis ton frère et nous sommes tous des frères. Nous faisons tous partie d’un ensemble qu’on appelle Dieu. Alors il faut qu’on agisse convenablement les uns avec les autres.

Celui qui est un être humain est ton frère. Si tu fais du mal à un être humain, tu te fais du mal à toi-même dans un premier temps et dans un second temps, tu fais du mal à Dieu. Je suis sûr que tu n’as pas envie de faire du mal à Dieu. N’est-ce pas ?

Alors, deviens un être fraternel. Fais comme moi ; j’aime toutes les personnes du monde entier. Ensemble, faisons comme Dieu le demande et aimons-nous les uns et les autres.

LA VICTOIRE DE DAVID SUR GOLIATH

Avant tout, allons à la découverte de «David» et «Goliath».

David était un enfant d’une grande famille dont le père a beaucoup d’enfants. David était le plus jeune et souvent, il était chargé de s’occuper des moutons pendant que ses frères vont se promener. David était un peu petit de taille, maigre, mais il arrivait à tuer les lions qui tentaient de manger les moutons du troupeau de son père. Oui ! Il était un petit enfant, mais il arrivait à tuer des lions. Il était courageux.

Goliath, c’est un géant physiquement, grand de taille. Un homme  qui a appris la guerre, qui est équipé en matière de guerre. Il a des armures de guerre, des épées, des lances, des javelots, etc. Il faisait peur et terrorisait tout le monde. Lorsqu’il vient dans un village, il tue tout le monde. Il faisait du mal à tout le monde et tous avaient peur de lui. Goliath était ce géant de qui tout le monde avait peur. Personne ne voulait se battre contre lui de peur de mourir.

David avait une grande qualité. Quand il était au champ, il se disait : on m’a confié des moutons donc je ne peux pas accepter que quelque chose vienne faire en sorte que je ne ramène pas les moutons à la maison. À partir du moment où David avait une raison de faire quelque chose, il arrivait à bien faire cette chose. C’est qui a fait qu’il arrivait à tuer un lion pour l’empêcher de manger les moutons. Il ne voulait pas trahir la confiance de son père en laissant quelque chose de mal arrivé aux moutons. Il voulait être la fierté de son papa.

Un jour, Les Philistins, étaient revenus combattre contre Israël et les trois frères aînés de David avaient rejoint l’armée. Un jour, David devait apporter du grain rôti et du pain à ses frères.

Dès qu’il est arrivé au camp, David courut à la ligne de bataille pour voir ses frères. Un géant philistin nommé Goliath s’avança vers les Israélites pour les insulter. Il s’était présenté ainsi matin et soir pendant 40 jours. Il leur criait : ‘Choisissez-vous un homme pour qu’il vienne me combattre. S’il est le plus fort, nous serons vos esclaves. Mais si c’est moi le plus fort, vous serez nos esclaves. Je vous lance un défi.’ David demanda : ‘Que fera-t-on pour l’homme qui abattra ce Philistin et qui délivrera Israël de la honte qui lui est faite ?’ On lui répondit : ‘Saül comblera le vainqueur de grandes richesses et lui donnera sa fille pour femme.’

Tous les Israélites avaient peur de Goliath, tellement il était grand.    Il mesurait près de trois mètres ! On rapporta au roi Saül que David voulait combattre Goliath. Mais Saül dit à David : ‘Tu ne peux te battre avec ce Philistin. Tu n’es qu’un petit garçon et lui a été soldat toute sa vie.’

David répondit : ‘J’ai tué un ours et un lion qui emportaient des moutons du troupeau de mon père. Et ce Philistin aura le même sort. Dieu me sauvera.’ Alors Saül dit : ‘Va, et que Dieu soit avec toi !’ David alla et se choisit cinq pierres lisses qu’il mit dans son sac de berger. Puis, il s’avança vers le géant. À sa vue, Goliath fut stupéfait. ‘Viens vers moi’, lui cria Goliath, ‘pour que je donne ton corps en pâture aux oiseaux et aux bêtes.’

David répondit : ‘Toi, tu viens à moi armé d’une épée, d’une lance et d’un javelot ; moi, je viens à toi armé du nom de Dieu. Aujourd’hui même, Dieu te livrera entre mes mains.

Alors David courut vers Goliath. Il tira une pierre de son sac, la mit dans son lance pierre et la lança de toutes ses forces. La pierre atteignit le géant au front et s’y enfonça.

L’homme tomba raide mort ! Les Philistins, voyant que leur champion était tombé, s’enfuirent. Les Israélites les poursuivirent et furent victorieux.

Après cette victoire, David devient plus tard roi. Si David a réussi face à Goliath, sache que tu es capable de réussir à tous tes examens, toutes tes épreuves, toutes situations de la vie. David est un exemple que tout le monde doit suivre. David est un exemple que tout enfant doit suivre. Pour accomplir de grandes choses comme David, il suffit de croire en soi, de croire qu’on peut y arriver, car Dieu est avec nous. David avait confiance en lui et en Dieu.

Il faut avoir confiance en ta réussite. Sois confiant et dis-toi que peu importe ce qui arrivera, tu seras le meilleur, car tu es avec Dieu et avec lui on gagne toujours. Retiens bien ceci : tout est possible à celui qui croit que c’est possible.

LE PARCOURS DU COACH POGNON POUR ÉDIFIER LES ENFANTS

Le parcours d’une personne, c’est sa vie, c’est ce qu’elle a accompli, c’est l’ensemble de ses œuvres. Une personne a un parcours inspirant, lorsque tu trouves dans son parcours des choses qui te motivent. Pour exemple, Rosalie Bradford pesait 544 kg et elle a pu perdre 416 kg. Son parcours inspire et donne la preuve que si elle, elle a réussi à le faire c’est que quelqu’un d’autre peut le faire.

Ici, on parle du parcours de Coach POGNON.

Coach pognon est né dans un hôpital à Porto-Novo, il est seul garçon de mère et deuxième garçon de père. Il était un enfant à qui l’on donnait tout au moindre larmoiement. Il était quelqu’un qui ne voulait pas apprendre, qui ne voulait pas aller à l’école et surtout il pleurait tout le temps avant d’aller à l’école.

Écoutez bien les enfants, on peut ne pas être premier au primaire et être le meilleur après. Ne regardez pas votre passé, le meilleur se trouve devant vous.

Au primaire, le coach POGNON aimait beaucoup s’amuser. Il jouait beaucoup au football et il regardait beaucoup la télévision. Ça lui permettait d’apprendre beaucoup des choses. Il a eu une enfance assez agitée, mais instructive. Tout ce qu’il faisait était pour apprendre de la vie.

Il avait un oncle qui était très gentil avec lui à la maison et lui donnait beaucoup de cadeaux. Espérant que l’oncle sera aussi gentil avec lui à l’école comme à la maison, il a décidé d’aller à son école pour faire les classes du collège. Il s’était trompé. À l’école, son oncle l’a vraiment bien tapé parce qu’il faisait une différence entre s’amuser et travailler. Il était rigoureux. Il voulait qu’il travaille. Voilà pourquoi il le frappait ; c’était pour son bien.

Les enfants, sachez une chose, un parent qui vous aime va être rigoureux, va être exigeant, va vous demander de produire de bons résultats et c’est par amour pour vous. C’est ce que l’oncle du coach POGNON avait fait.

Coach POGNON était bon au football et l’équipe des Dragons de l’Ouémé lui avait envoyé une invitation pour les rejoindre, mais lui il voulait surtout être conférencier. À l’époque, il analysait tout. Il a donc refusé l’invitation des dragons de l’Ouémé.

Il a aussi fait du théâtre en classe de 4e, après il a fait du scoutisme et grâce au scoutisme, il a appris les choses de Baden Powell. Il a également fait la Jeune Chambre internationale (JCI). En fait, il apprenait de tout et de tous.

Retenez ceci, chers enfants, vous devez vous amuser, profiter de votre temps et surtout apprendre de tous et travailler parce que c’est le travail qui amène les gens à vous respecter.

Après le baccalauréat, coach POGNON est allé à l’université. Il a commencé à travailler et il a ensuite présenté sa thèse. Il a fondé une école gratuite pour la classe de 6e et il était fier de l’avoir fait. Il a voyagé un peu partout dans le Bénin, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Burkina et au Togo.

Retenez de cette partie que vous ne devez pas faire des choses parce qu’on vous dit de les faire, vous devez tout analyser. Vous devez tout analyser et si vous vous rendez compte que quelque chose ne va pas, aller voir les parents discuter ensemble et décidez. Par exemple, le coach POGNON a eu le BEPC avec 19 en mathématique et 14 en physique, on voulait le mettre en seconde C.

Il a donc discuté avec son papa, ils ont trouvé un compromis et il est allé faire la série G2. Cela lui a permis d’atteindre l’objectif qu’il voulait. Vous aussi à partir déjà de la 4e, vous devez être les partenaires de vos parents, discuter avec eux, analyser les choses et leur soumettre ça ; ils vont décider avec vous.

Le coach POGNON est devenu une réussite parce qu’il a appris de tout et de tous.

Vous devez suivre les exemples de personnes qui ont réussi comme  le coach POGNON, vos parents et des personnes qui sont des bons exemples même dans des films qui présentent des bons parcours. Retenez ceci, chers enfants, le coach POGNON n’a pas toujours tout réussi dans la vie. Le plus important c’est de regarder vos réussites. Pensez à vos réussites et cessez de regarder vos échecs.

Soyez des modèles, réussissez et faites tout pour dépasser le coach POGNON.

LES ENFANTS DU COACH POGNON SE RENDENT UTILES ET AIDENT LES AUTRES

L’un des verbes les plus importants, c’est servir. Dieu nous aide. Il est toujours à notre disposition. Nous-mêmes, nous devons être utiles et servir. Nous devons apporter votre aide.

Vous ne pouvez pas être là et votre maman sera seule à la cuisine à préparer. Non, vous devez aller l’aider. Vous devez faire quelque chose pour qu’elle sente que vous l’aimez aussi. Soyons dans le service à l’humanité ; apportez votre contribution, balayez à la maison, faites quelque chose vous-même.

Apporter votre aide à votre frère, à votre sœur, à votre père, à votre mère. C’est comme ça que vous allez devenir quelqu’un. Celui qui ne fait rien n’est personne. Mais celui qui fait et qui contribue est quelqu’un. Donc vous devez servir l’humanité. Servir est utile et il faut aussi aider les autres, ceux qui le méritent. En aidant les gens, tu deviens utile pour toi-même.

Je vais vous donner un cas, un jour un enfant se moquait de Coralie lorsqu’elle était encore au primaire. En disant à Coralie que son papa ne l’aime pas, il est tout le temps en train de voyager, il n’a pas le temps pour elle. Coralie lui répond ceci : tu sais mon père, le monde a besoin de lui. Il va servir le monde et en servant le monde il fait en sorte que demain partout où je passe les gens auront envie de me rendre service, de m’aider à cause de l’utilité de mon papa. Comme ton papa est inutile, il est tout le temps garé à la maison à ne pas sortir, il ne t’aime pas. S’il t’aime, il allait être utile aux gens.

Oui les amis ! Vos parents étaient utiles à des gens et vous devez être utiles aussi aux gens. Quand vous servez d’abord les autres, vous êtes intelligent. Parce que si vous servez les autres, en retour ils seront reconnaissants, ils vont vous donner plus que ce que vous leur avez donné.

Mais si vous les manipulez, si vous ne les servez pas, si vous n’êtes pas utile aux gens, ils ne peuvent pas être utiles pour vous.

Les enfants du coach POGNON sont utiles à l’humanité et donc l’humanité aide chacun d’eux, les protège, et leur donne la bonne la santé, la sécurité, l’argent, la joie et tout.

UN ENFANT DU COACH POGNON TIENT PAROLE

Dans la vie, lorsque vous tenez parole, les gens vous respectent. Le coach Patrick Armand POGNON a promis vous faire tonus des enfants tous les vendredis, il va tenir parole parce que c’est comme ça que les gens vous respectent. Soyez des gens de parole. Quand vous promettez que vous allez occuper un rang, occuper ce rang. Quand vous promettez que vous allez travailler, vous devez travailler ; quand vous promettez quelque chose, il faut le faire. C’est en respectant ce que vous aviez promis que les gens vont vous respecter.

La première loi scoute dit «qu’il faut tenir parole». Vous allez-vous demander, qui est un scout ? Un scout est un enfant modèle, un enfant-citoyen, un enfant respecter, un enfant idéal, un enfant adoré. Donc un scout est un enfant que tout le monde apprécie. Les enfants du Coach Pognon sont des scouts. Chez les scouts, on tient parole, quand ils disent qu’ils veulent faire quelque chose, ils le font. Quand ils disent qu’ils vont dormir, ils vont dormir.

Vous avez promis à coach POGNON la réussite. Alors, tenez votre parole et réussissez. Lorsque vous promettez, faites-le. On pourra dire de vous que vous êtes un homme de parole. Imaginez que vous avez promis quelque chose et que cette chose est trop difficile à faire. Ne baissez pas les bras. Il faut continuer jusqu’à réussir. Vous ne savez, rien n’est facile dans la vie, mais il faut continuer et lorsqu’on continue on réussit toujours. Et plus vous allez réussir dans les difficultés, plus vous allez devenir fort et plus rien ne va vous effrayer. Parce que vous avez vécu, gagné, réussi et vous avez dépassé ça, maintenant vous deviendrez plus fort.

Vous êtes des enfants, vous avez de l’énergie, vous avez de la puissance de Dieu en vous, vous avez la puissance du coach POGNON en vous, vous avez la puissance de vos ancêtres en vous. Vous ne pouvez que réussir.

LES ENFANTS DU COACH POGNON SONT LOYAUX

Nous devons être loyale, parce que c’est comme ça la vie nous fait des cadeaux et nous protège. Une personne malhonnête qui trompe les gens, qui vole, qui ment aura après des difficultés dans la vie.

Ainsi, à partir d’aujourd’hui, je vais demander pardon à Dieu, je vais le supplier ; afin que, tout ce que vous avez fait de mauvais jusqu’à présent, il vous le pardonne et qu’il efface tout. Mais à partir de maintenant, débrouillez-vous pour être toujours sincère, toujours honnête.

On ne doit jamais vous reprocher d’avoir volé quoi que ce soit, éviter les mauvais comportements. Vous savez très bien ce qui est bon, vous savez très bien ce qui est mauvais. Alors, faites ce qui est bon et la vie vous aidera. C’est ainsi que comme moi, vous allez réussir votre vie et vous allez tout gagner dans la vie. Soyez honnête, soyez intègre, soyez sincère dans tout ce que vous faites.

L’intégrité est la qualité d’une personne qui ne se laisse pas corrompre, une personne de confiance, une personne fiable. Il est impossible de trouver et garder un emploi sans cette qualité. De façon pratique, ne pas toucher à ce qui ne m’appartient pas, faire très bien ce que j’ai à faire, parler toujours vrai.

De façon claire, la loyauté est que mon ‘oui’ soit ‘oui’. Je ne fais pas ce qui est interdit. La loyauté est une bonne chose, car c’est elle qui t’apporte la santé, l’argent, tout. Lorsque tu voles, Dieu est mécontent et Dieu ferme le robinet, tu n’as plus d’argent. Quand tu es sincère, Dieu te donne et il ouvre le robinet.

Je vais vous donner un exemple. J’ai un collaborateur à qui je me préparais à donner 250 000 francs pour le soutenir, pour lui dire qu’il a fait un bon travail. Mais un jour, il vole 50 000 francs. À cause des 50.000 francs qu’il a pris, il a perdu les 250 000 francs.

Quand tu voles Dieu, Dieu ne donne plus. Ce que Dieu donne est beaucoup plus que ce qu’on vole. Soyez honnête et vous allez gagner plus.

Prenez l’exemple du Coach POGNON qui est toujours loyal. Et rappelez-vous que dans la loyauté, il y a toutes les bénédictions pour réussir dans tous les domaines de la vie.

POURQUOI L’ECOLE ?

Vous savez, vous n’êtes pas obligé d’aller à l’école. Car beaucoup de personnes ont réussi dans la vie sans mettre un pied à l’école, mais  ils sont limités. Est-ce que toi tu as envie d’être limité dans la vie ? La réponse est non. Vous devez aller à l’école pour réussir plus que les gens qui n’ont pas été à l’école.

Vous devez aller à l’école pour apprendre à lire, à écrire et à parler plusieurs langues ; pour apprendre les règles de la vie comme la loyauté, la morale. Pour vous faire aussi de bons amis.

Lorsque vous suivez les tonus du Coach Patrick Armand POGNON, vous êtes différent par rapport aux autres enfants, car vous apprenez. Retenez ceci après le pain, vient l’éducation.

Ce sont des choses essentielles donc nous avons besoin d’aller à l’école. Oui aujourd’hui tout le monde me respecte parce que j’ai eu la chance d’aller à l’école.

Tu dois faire comme coach POGNON qui est un exemple de réussite. Il est allé à l’école, mais il n’est pas borné à ce qu’il connait. Il cherche toujours à connaitre. Il apprend chaque jour ; résultats, il est riche et heureux.

Comme coach POGNON, tu dois aller à l’école, avoir de gros diplômes, mais toujours apprendre pour réussir, pour être heureux, épanoui, riche et faire de merveilleux enfants.

Tu dois aller à l’école et être le meilleur de ta classe, si tu n’arrives pas à l’être aujourd’hui, tu le seras demain ou le mois prochain. L’important est que tu dois toujours chercher à être le meilleur.

Pour être le meilleur, c’est simple, apprends tes leçons et fais tes exercices.

Si tu apprends peu, tu auras un petit résultat, mais si tu apprends beaucoup, tu auras de grands résultats, tu seras toujours le meilleur.

Ceci ne t’arrache pas tes moments de repos et de loisirs. Tu dois aussi te reposer, t’amuser, jouer au football, danser, chanter, etc.

LES ENFANTS DU COACH POGNON SONT DE BONS AMIS ET INSPIRENT CONFIANCE

Avoir confiance en quelqu’un, c’est avoir la possibilité de tourner   le dos à cette personne sans avoir peur. C’est avoir la capacité de laisser de l’argent quand une personne est là et partir sans avoir peur. C’est avoir la capacité de parler à une personne et d’être sûr que la personne va faire ce qu’on lui a dit de faire. La confiance en soi permet de réussir beaucoup de choses, voir tout. Faire confiance aux autres permet d’avoir des partenaires avec lesquels vous pouvez réussir, vous pouvez tout gagner, vous pouvez avancer, vous pouvez progresser. La confiance est quelque chose de très important dans la vie.

Les enfants du coach POGNON inspirent confiance parce qu’ils écoutent et appliquent ce que le coach POGNON leur dit. Lorsque je leur dis qu’ils doivent dire de bonnes choses sur eux-mêmes : ils disent de bonnes choses sur eux-mêmes. Lorsqu’il leur dit de programmer, ils programment ; lorsqu’ils me promettent de réussir, ils réussissent. Donc ils sont des gens de confiance.

Vous savez pour gagner la confiance des gens autour de nous, il    faut d’abord être honnête. Ce qui ne m’appartient pas, je n’y touche pas. Même s’il s’agit de l’argent de mes parents, de l’argent de mes frères, de l’argent de ms sœurs, etc. Car on n’a pas à prendre l’argent de quelqu’un derrière lui sans le lui demander. Un enfant de Coach Pognon ne prendra jamais quelque chose qui ne lui appartient pas. Et sachez que lorsqu’il promet il le fait. Donc lorsque vous êtes honnête et que vous respectez votre parole on dira que vous êtes quelqu’un de confiant. C’est le cas des enfants du coach POGNON.

Vous savez dans la vie, vous devez avoir des amis et surtout avoir de bons amis qui pourront vous soutenir. Coach Patrick Armand POGNON par exemple a de bons amis qui lui donnent de l’encouragement, des vibrations positives, de l’énergie.

Et ses amis en question, c’est vous ! Avoir des amis fait du bien  et ensemble on est plus fort, on va plus loin. Sur ce, il faut se faire confiance à soi-même et aux autres pour évoluer. Vous avez besoin des amis qui réveillent en vous le bon côté, qui vous encouragent à faire de bonnes choses, qui vous permettent d’être vraiment fier de vous et qui vous permettent d’avoir toujours des pensées positives.

Je vais vous donner un exemple en classe de troisième, j’avais des amis dont les parents étaient des ministres, des hommes d’affaires, des chefs d’entreprises. Donc tous les soirs, ils amenaient des véhicules de leurs parents et l’on sortait. Un jour, mon professeur d’histoire-géographie m’a appelé. Il m’a dit, «je veux être le meilleur professeur d’histoire- géographie de cette école. Pour y arriver, il faut qu’un de mes élèves soit le meilleur en histoire-géographie. Je veux donc que tu sois le meilleur élève en histoire-géographie pour que moi je sois le meilleur professeur d’histoire-géographie de l’établissement». Quand j’ai quitté chez mon professeur, je suis allé voir mes amis et je leur ai dit «les amis, vous votre papa à l’argent, moi mon papa il se débrouille donc vraiment votre amitié ça ne m’intéresse plus. Je préfère m’occuper de moi-même». Alors j’ai commencé par rester à la maison, à prendre mes cahiers et à apprendre mes leçons. Aujourd’hui, tous mes amis, dont les papas, étaient ministres, chefs d’entreprises et autres, ils sont en train de se chercher dans la rue. Lorsque je les vois aujourd’hui c’est moi qui leur donne de l’argent. Comprenez, chers enfants, que fréquenter les mauvais amis ne vous emmènera nulle part et commencez dès aujourd’hui à fréquenter de bons amis pour pouvoir réussir.

Un ami est quelqu’un qui parle avec vous de réussite, d’évolution, de prospérité, de réussir votre vie. C’est quelqu’un qui vous encourage à faire de bonnes choses et non quelqu’un qui vous encourage à faire de mauvaises choses.

Vous devez savoir qui vous choisissez comme étant votre ami. Cela peut déterminer si vous allez réussir ou échouer. Quant à moi, je reste votre meilleur ami et vous pouvez avoir confiance en moi pour qu’on gagne ensemble.

FAIRE HONNEUR A NOS PARENTS

Honorer quelqu’un, c’est reconnaitre la valeur de cette personne. C’est la considération, la gratitude que vous devez accorder à quelqu’un. C’est reconnaitre que cette personne n’est pas n’importe qui et qu’elle a de l’importance pour nous. Vous devez honorer vos parents. Quand on prend le cas de votre maman par exemple, elle a souffert neuf mois pendant lesquels elle vous a porté avec amour dans son ventre et ensuite elle vous a accouché et elle veille toujours sur vous.

Te rappelles-tu lorsque tu étais bébé pleurant tout le temps parce que tu voulais le biberon, sucette, yaourt, etc. Maman était là. Elle a fait beaucoup pour toi. Elle a sacrifié beaucoup de choses pour s’occuper de toi. Mais Papa aussi est allé se battre pour trouver de l’argent pour le repas, pour le loyer, pour les besoins.

Sachez que tous vos parents ont vécu pour vous. Donc vous devez être reconnaissants envers vos parents, vous devez vous souvenir d’eux ; vous devez leur dire tous les jours combien vous les aimer. Vous devez les embrasser, vous devez leur dire maman je t’aime, papa je t’aime. Vous devez leur dire ça tout le temps. Il faut qu’ils sentent que vous êtes reconnaissants. Quand ils veulent sortir, vous devez dire : je te souhaite une bonne journée papa, que Dieu te protège. Oui, soyez reconnaissants et n’oubliez jamais les choses que les parents ont faites pour vous.

Il y a aussi vos enseignants qu’il faut honorer ; parce qu’ils vous aiment. C’est vrai qu’ils vous ont frappé, ils vous ont crié dessus. Mais c’était par amour pour vous. Ils veulent à tout prix que vous réussissiez. Alors si votre professeur vous fatigue, c’est parce qu’il vous aime bien. Oui ! Celui qui aime bien châtie bien. Alors vous devez être reconnaissants envers vos enseignants. Si vous honorez les autres, ils vont vous honorer en retour.

Pour faire honneur aux autres et à nos parents, il faut tout simplement leur témoigner de l’amour, de la reconnaissance, du respect. C’est en faisant honneur à vos parents qu’ils seront fiers de vous. Ils seront fiers de savoir que leurs enfants les aiment, qu’ils les respectent, que leurs enfants sont des modèles qui se comportent bien. C’est aussi en les honorant que vous recevrez des bénédictions et Dieu même est content ; il vous donne beaucoup de choses. Vous voyez lorsque vous honorez vos parents, vous êtes gâtés ; ils vous donnent tout ce que vous voulez.

Sachez aussi que ce n’est pas parce que vous n’êtes pas premiers de la classe que vous déshonorez vos parents. Vous devez viser la première place, mais si vous n’êtes pas premiers ce n’est pas grave. Il faut juste continuer à toujours chercher à être le meilleur. Même si vous n’êtes pas arrivés, vous devez dire : j’ai fait ce que j’ai pu cette fois, mais la prochaine fois je ferai mieux et je vais continuer jusqu’à réussir. Alors, honorer Coach Patrick Armand POGNON en honorant vos parents  en étant des modèles, des exemples.

Dès aujourd’hui, vous devez laisser les anciens comportements qui ne vous honorent pas. Vous devez remettre le compteur à zéro et aller maintenant de l’avant. Quand tu veux poser un acte, dis-toi si cet acte honore mon père ou ma mère, le Coach POGNON. Si ce n’est pas le cas, je ne le fais pas et surtout retiens une chose, Dieu qui voit tout et même dans l’ombre te regarde. Il sait quand tu honores tes parents. En tout cas fait en sorte que Dieu soit d’accord avec toi, tu es le plus fort, le plus puissant le plus riche. De toutes les façons, sache que Dieu est avec toi ; alors, fais en sorte que Dieu soit toujours avec toi.

LES ENFANTS DU COACH PATRICK ARMAND POGNON SONT PRIVILEGIES

Être privilégié, c’est être reconnu important et apprécié ; être quelqu’un de particulier, être quelqu’un qui a de la valeur ; avoir une chance que les autres n’ont pas.

Les enfants du coach POGNON sont privilégiés parce qu’ils sont   les enfants du n°1 mondial du coaching. Ils ont la chance de voir le coach POGNON, car beaucoup d’enfants n’ont pas cette chance. Ils ont la chance d’accéder à un téléphone Android. Ces enfants ont la chance d’avoir des parents qui les aiment tellement. Ils ont la chance d’avoir des personnes qui travaillent pour eux. Le coach POGNON et son équipe sont là pour vous ses enfants. Ils sont donc des employés de ses enfants. Par conséquent, les fils du coach POGNON sont des privilégiés.

Cher enfant, je veux te confier un secret. Tes parents te regardent, et lorsque tu leur jettes un coup d’œil, ils regardent ailleurs, car ils savent que tu es plus beau, plus intelligent et plus efficace qu’eux. Tu as réussi là où eux, tes parents ont échoué.

Tous ceux qui sont les enfants du coach POGNON sont des privilégiés. Ils peuvent faire des privilégiés en allant à l’école, en amenant d’autres élèves à se sentir privilégiés. Le simple fait que tu as la chance d’être un ami à un enfant du coach POGNON fait que tu es aussi un privilégié. Exemple de privilégié : Le coach POGNON. Je sais que je ne suis pas n’importe qui. Donc mon enfant, si tu te lèves le matin, répète que   tu es un privilégié de Dieu ; tu es exceptionnel, tu es quelqu’un qui    a de la valeur, de l’importance. Tu vas réussir, tu vas vaincre, tu vas gagner. Si tu sais qui tu es, le monde va te respecter, la nature va te respecter, toute la création va te respecter. Certaines personnes sont plus privilégiées que d’autres tout simplement parce qu’ils ont plus développé leur personnalité, fait du développement personnel, fait

plus le coaching. Cela a fait qu’ils ont plus confiance en eux-mêmes. À partir de cet instant, tu dois savoir qui tu es.

Mes enfants, cependant, être privilégié n’est pas synonyme de prendre une grosse tête et de perdre l’humilité. Pour cela, affirme ta personnalité, marche pour la gloire de Dieu. Habille-toi bien aussi.   Je vais te respecter parce que tu es une autorité, mais je ne vais pas te prendre plus important que moi.

LES ENFANTS DU COACH POGNON CONNAISSENT LEUR VALEUR

Connaître sa valeur, c’est savoir qui l’on est ; c’est connaître combien de fois on est important, reconnu et apprécié. C’est également savoir que les gens nous regardent donc il y a des choses que je ne peux plus faire, car je suis très important. Reconnaître sa valeur, c’est aussi marcher comme quelqu’un d’important, parler comme quelqu’un d’important. C’est l’exemple d’un garçon dont le papa est pasteur dans une église. Tous les dimanches, quand le papa vient à l’église, l’enfant est derrière son papa en train de pleurer. Le papa demande au coach POGNON que faire pour qu’il cesse de pleurer. Le coach POGNON en bon père, répondit au pasteur de coudre un habit important à son fils et de le lui porter le dimanche prochain. Le papa fit confectionner un basin riche à l’enfant. Ce garçon, une fois rentré dans l’église avec sa nouvelle tenue, il est allé chercher une chaise, s’est assis, a mis un pied sur l’autre, et attendait son papa. Pendant tout le culte, même quand les gens se lèvent pour louer Dieu, ce garçon est toujours assis parce qu’il se rend compte qu’il est important.

Reconnaître sa valeur, c’est de ne permettre à personne de mal te parler. C’est de savoir que tu es très important aux yeux de Dieu et que personne n’a le droit de te manquer de respect. C’est également de savoir que, quelles que soient les circonstances, tu es quelqu’un d’important. Si tu ne reconnais pas ta valeur, les autres ne vont pas te le reconnaître. De même si tu te comportes comme n’importe qui, les gens vont te regarder de la sorte. Et si tu t’habilles comme n’importe qui, les gens te verront ainsi. Il va donc falloir que tu reconnaisses ta valeur par conséquent les choses que tu dois faire et que tu ne dois pas faire.

Dans la parole de Dieu, il est dit tout est permis, mais tout n’est pas utile. Il est permis pour toi de faire tout.

Cependant, la personne importante que tu es, doit-elle décevoir sa maman, son papa, son Dieu ? La réponse est non ! Si tu reconnais ta valeur et que tu veux poser un acte, tu vas faire attention et te dire que je suis trop important pour ça.

Quand le coach était en 3e, il avait pour habitude de sortir chaque soir. Mais après, il s’est rendu compte qu’il est très important pour faire ces amusements. Qui tu es, doit réussir sa vie. Tu connais ta valeur, tu ne vas pas faire du n’importe quoi, car tu es très important pour qu’on te retrouve dans des trucs bizarres.

Le docteur Carl Simonton dit que celui qui reconnaît sa valeur ne tombe jamais malade, donc il faut que tu connaisses ta valeur pour ne pas tomber malade pour qu’on retienne que quand tout le monde était malade, toi tu ne l’étais pas. Dans la vie, il faut affirmer sa personnalité. C’est l’exemple du coach Patrick Armand POGNON quand il était élève, les professeurs l’appelaient monsieur parce qu’ils voyaient dans ses comportements quelqu’un de valeur. Quelqu’un qui connaît sa valeur se comporte dignement. Tu ne peux pas fréquenter avec des gens qui s’amusent avec leur avenir, qui ne connaissent pas leur valeur

; tu ne peux pas être ami avec quelqu’un qui est dans l’indiscipline, dans le mensonge tout le temps, qui vole.

Tu es important parce que tu ne fréquentes pas les mauvaises choses et donc tu n’es pas dans les mauvaises choses. Autrement dit, avant de poser un acte, tu dois te poser ces questions : est-ce que Dieu sera d’accord à l’acte que je veux poser ? Est-ce que mes parents seront fiers de mon acte ? Est-ce que moi-même, je suis fier de moi ?

Ce sont ces questions que tu dois te poser chaque fois. Les enfants du coach POGNON sont des modèles. Ils sont avec des gens bien.

Ils connaissent leur valeur à cause de leurs comportements, de leurs habillements, la façon de parler, de regarder, les questions intelligentes qu’ils posent et la joie qu’ils apportent à la maison. Ils mettent de l’ordre dans la maison ; ils sont généreux et sont aussi disciplinés à la maison comme aux centres de formation. Ils apprennent correctement leurs leçons.

LES ENFANTS DU COACH POGNON REVOLUTIONNENT LE MONDE

Révolutionner le monde, c’est faire en sorte qu’on se souvienne de toi. Il s’agit de poser des actes qui montrent que tu es différent des autres. C’est faire en sorte que tôt ou tard, le monde retient que tu as existé. Également, c’est faire en sorte que plusieurs personnes puissent avoir leur vie impactée grâce à toi. J’ai demandé à mes enfants d’être le coach de leurs parents. Je vous donnerai l’exemple de plusieurs enfants dans ce texte qui ont pu changer leur maman là où le coach POGNON n’a pas réussi. C’est pour dire que les enfants du coach POGNON impactent leur environnement. Ils ne laissent personne triste autour d’eux ou se plaindre autour d’eux. Par conséquent, les enfants du coach changent le monde donc révolutionnent le monde.

Si tu ne marques pas ta vie, si tu n’impactes pas ton temps, personne ne se souviendra de toi. C’est le cas des personnes qui ont vécu, mais sont inaperçues. Il faut qu’on se souvienne de toi. Quand on parle à la maison, on doit raconter ton histoire. Lorsque les mamans et les papas écrivent au coach POGNON, ils disent «ton garçon ou ton champion a fait ceci ; ta championne a fait telle chose». Ils disent ce que vous avez fait donc vous marquez leur vie, votre génération.

Pour impacter ton environnement et le monde, il faut appliquer les outils que le coach POGNON te donne. S’il te dit de faire quelque chose, il faut lui obéir. En faisant cela, tu aimes ton environnement, tu révolutionnes ton monde. Il faut être des enfants obéissants qui appliquent ce qu’on leur dit. C’est pourquoi on dit que les enfants du coach POGNON changent positivement ce monde.

Tous les enfants peuvent révolutionner le monde. Cependant, les enfants du coach Patrick Armand POGNON ont l’avantage d’avoir le coach POGNON comme coach donc ils vont y arriver plus facilement que les autres. Ce n’est pas n’importe quelle personne qui a le plus grand coach du monde comme coach.

Par conséquent, ce sont des personnes exceptionnelles qui ont le meilleur coach au monde. Les enfants du coach POGNON utilisent les outils qu’il met à leur disposition. Souvent, les parents ont tendance  à être tristes, à se plaindre, mais depuis que leurs enfants suivent les tonus du coach POGNON, ces derniers ne permettent plus aux parents de se plaindre. Les enfants amènent leurs mamans à appliquer les enseignements du coaching et ces mamans sont en train de réussir sur tous les plans. Nous les parents avons appris à nous plaindre de tout et cela perturbe la vie de tous, perturbe notre propre vie. Donc il faut que vous puissiez être derrière les parents pour leur rappeler le message du coach POGNON, les amener poliment à prendre conscience afin ne pas vous amener dans des ravins.

Les outils des enfants du coach POGNON sont nombreux. D’abord, la parole qui est dans leur bouche. Il faut faire attention à ce que nous disons. On ne doit jamais dire quelque chose de négatif. On ne doit dire que des choses bien. Exemples : J’ai le meilleur parent du monde, le meilleur frère du monde, le meilleur petit frère du monde, le meilleur grand frère du monde, la meilleure petite sœur du monde, la meilleure grande sœur du monde, la meilleure sœur du monde. J’ai le meilleur des amis au monde, j’ai les meilleurs collaborateurs du monde, car dans la programmation, nous disons dans l’une des phrases ceci « Par la puissance de Dieu à moi, je décrète un changement positif et profond dans mon environnement, dans ma famille. » Depuis que j’ai commencé par programmer cela, il y a un changement sérieux dans ma famille et dans mon environnement.

Le deuxième outil des enfants du coach POGNON, c’est de surveiller ceux qui sont autour d’eux, la vigilance pour que personne ne dise des choses négatives en présence des enfants.

Quand vous dites des choses négatives, ils vont vous dire gentiment tonton, tata, papa, maman, on ne dit pas ça. Si tu dis cela, tu appelles des choses négatives sur toi. Donc les enfants ont des propos qui les engagent à réussir la vie.

Comme troisième outil, ils ont un comportement qui fait que Dieu est content d’eux. Ils sont obéissants, respectueux ; ils apprennent leurs leçons, ils préparent correctement leurs examens.

Une révolution du monde est utile, car sans la révolution il y aura statut-co. Sans révolution, rien ne marche. Il faut que dans toutes   les maisons du monde, il y ait de la joie, la bonne ambiance, car c’est la bonne ambiance qui va attirer la santé, le bonheur, la prospérité. Les enfants du coach POGNON sont les leaders d’aujourd’hui et de demain. C’est à eux d’impacter le monde, car c’est eux qui vont nous sauver. Chers enfants, quand vous prendrez la relève, ce sera une nouvelle génération d’hommes et de femmes de qualité.

Pour rentrer dans la barque, les autres enfants doivent fréquenter    les enfants du coach POGNON parce que les enfants du coach POGNON, à l’école, rassemblent leurs amis pour programmer, pour leur apprendre à parler positivement, pour leur apprendre un certain nombre de choses. Comme exemple de ceux qui ont impacté le monde ou révolutionné le monde, nous pouvons citer Soundiata Keita, Nelson Mandela, Barack Obama, ton papa, ta maman a aussi à un moment donné, a impacté le monde. Il est important de croire que ton tour viendra pour que vous puissiez impacter le monde, car nous sommes la révolution silencieuse.

LA LEGENDE DE COLIBRI

Un jour, il y eut un immense incendie dans la forêt. Les animaux terrifiés assistaient sans puissance au désastre. Tous, sauf le petit Colibri qui s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. «Je fais ma part», répétait-il aux autres animaux. Le colibri a choisi de faire quelque chose, d’apporter quelques gouttelettes d’eau pour éteindre le feu pendant que les autres étaient là. Cela peut paraître insignifiant, mais c’est déjà beaucoup. Le colibri a compris que s’il faut attendre que tout le monde se décide, rien ne se passera. Mais quand une personne prend l’initiative, les autres le suivent. Donc si tout le monde se tait et personne ne dit rien, nous allons tous perdre.

Tu dois être le colibri des études et du coaching de ta salle de classe. Tu dois être celui par qui l’information vient pour changer les choses. N’aie peur de personne parce que ton succès ne dépend de personne d’autre que de toi. Chacun doit aider l’autre, pour cela, soyez tous des colibris et ensemble nous allons tous réussir.

Il n’est pas très intelligent de vouloir convaincre tout le monde pour commencer quelque chose au même moment. Car si tu n’arrives pas à convaincre les autres pour ta cause noble, que ferais-tu ? La meilleure manière, c’est de commencer toi-même. Il faut être initiateur avant que les autres ne te rejoignent.

Dans la vie, il y a trois catégories de personnes à savoir : ceux qui commencent l’action, ceux qui suivent l’action initiée, et  ceux qui  ne bougent pas. Alors l’idéal est que tu commences pour amener les autres à gagner, à vaincre.

Initier, c’est observer, orienter, décider et d’agir. On ne peut pas réussir sans ces étapes. Il faut que nous soyons tous des Colibris. Ainsi, chacun prendra des initiatives pour gagner dans sa vie. L’enfant qui veut réussir ne laisse pas les autres perturber sa vie ; il dénonce ce qui ne va pas et l’on corrige pour avancer.

Dans une interrogation, si tu fais ta part, l’autre qui fera le reste est ton Dieu. Il faut que tu saches que Dieu complète toujours les choses que tu as commencées. Lorsque le joueur frappe dans un ballon, il a déjà fait sa part, Dieu fera le reste en se chargeant de cadrer pour qu’il y ait but dans le camp.

Prenez l’habitude de prendre des initiatives, de créer le changement. Cela peut être quelque chose de simple ou de banal. Il faut savoir que ça compte, car les petits changements vont conduire aux grands changements. Prends l’initiative dans ton entourage de dire des choses positives. Tu verras que les autres vont te suivre et ensemble vous allez réussir.

POURQUOI TU DOIS RÉUSSIR ?

Réussir c’est un sentiment d’accomplissement, un sentiment de joie, un sentiment de fierté que je ressens lorsque j’ai réalisé quelque chose. C’est-à-dire la satisfaction personnelle.

On doit réussir d’abord pour avoir ce plaisir de parler librement à      la maison, pour que tout le monde puisse te respecter en tant que diplômé. Il faut réussir tout le temps pour avoir une bonne relation avec tes parents. Lorsque tu réussis, plus personne ne pourra plus te dire, tu n’as pas le droit. Tu es libre, tu as beaucoup de choses. Les parents diront que tu es un garçon sérieux, une fille sérieuse, car tu as travaillé pour réussir dans sa vie. Il y a donc un immense plaisir à réussir quand vous vous battez pour atteindre vos objectifs. Ton nom devient célèbre. On ne peut pas t’oublier dans cette vie. C’est l’exemple du coach Patrick Armand Pognon.

Dans le processus pour réussir, il va arriver que tu aies peur. C’est tout à fait normal. La peur est un sentiment qui prépare la réussite. Même le coach POGNON a peur ; tout le monde a peur, car la peur est un partenaire de réussite. La peur permet d’être humble et de demander à Dieu de m’aider, afin de bien se préparer. Cette préparation fait que tu prends conscience que Dieu est avec toi. Par conséquent, tu n’as plus peur, car tu reconnais que tu as peur, mais tu renonces à cette peur pour un esprit de confiance en toi et en Dieu.

Dans cette vie, il n’y a pas de réussite impossible, car ce mot se retrouve dans le dictionnaire des imbéciles. Quelles que soient les moyennes que tu as jusqu’à présent, les compteurs sont remis à zéro pour les examens à venir. Les amis, vous allez me dire que vous pensez que quelque chose est impossible lorsque Rosalie Bradford a quitté quatre cent seize kilogrammes (416 kg) de son poids total pour 126 kg.

Usaine Bolt qui a un pied plus long que l’autre est le plus grand athlète du monde. Il court plus que tout le monde. Donc l’impossible n’existe pas sauf dans le dictionnaire des imbéciles.

Retenez qu’on ne gagne que lorsqu’on a décidé de gagner et qu’on se donne les moyens pour gagner. Surtout, gardez à l’esprit qu’un enfant du coach Patrick Armand POGNON gagne toujours.

VIVRE L’ÉCOLE

L’école, c’est un endroit où l’on apprend à lire, écrire, parler les langues étrangères et calculer. L’école permet de pouvoir calculer, de pouvoir analyser et de réfléchir. Elle permet de passer sur des télévisions pour animer des débats, des émissions ou encore pour parler de quelque chose. L’école permet de voyager et une fois dans n’importe quel pays, vous avez la possibilité de parler la langue des autres. L’école permet de devenir reconnu, important et apprécié. L’école permet d’avoir des amis, de bons amis.

Il est important d’aller à l’école. Si nous n’allons pas à l’école, nous aurons un retard sur les autres. Les enfants qui n’ont  pas  été  à l’école sont timides. Ils se cachent parce qu’ils ne veulent pas que les autres découvrent qu’ils n’ont pas été à l’école. Nous avons besoin d’aller à l’école pour apprendre des choses qui vont nous permettre d’être respectés dans la vie. Nous avons besoin d’aller à l’école pour questionner le maître, questionner les enseignants, pour que là où ils ont échoué, ils puissent nous expliquer pour qu’à notre tour nous ne fassions pas les mêmes erreurs.

L’école est agréable. La belle preuve le Coach POGNON lui-même a été à l’école. Mais lui, il pose beaucoup de questions à ses enseignants. Il cherche à savoir. Il avait un comportement curieux, responsable qui faisait que même étant élève tout le monde l’appelait monsieur. Dans le scoutisme Coach POGNON posait beaucoup de questions au chef scout. Il cherchait à savoir comment procéder pour faire telle ou telle chose que le chef faisait.

À la Jeune Chambre Internationale (JCI) lorsque le formateur arrive et entame son animation, le coach POGNON regarde et il reprend les mêmes gestes que le formateur. Il se comportait exactement comme lui et il faisait la même en tout lieu. C’est comme ça que vous devez être pour réussir à l’école et réussir votre vie.

Faites en sorte de poser des questions pour tout ce qui est fait. Demandez au professeur comment il a fait pour arriver à ce résultat, comment il a fait pour réussir, comment il a fait pour maîtriser les mathématiques, le français, l’anglais et bien d’autres matières. Cela va te permettre de maîtriser la démarche et tu pourras aussi réussir dans les diverses matières.

Il est vrai qu’aller à l’école parait parfois contraignant et nécessite un peu d’effort. Mais retenez ceci : il était une fois, un monsieur passait et il vit une chenille dans un cocon. La chenille faisait tout pour sortir, mais elle n’y arrivait pas. Alors le monsieur dit je vais aider cette chenille pour qu’elle puisse être libérée. Il a donc pris un couteau pour casser le cocon et il a libéré la chenille. Seulement cette chenille est restée paralysée toute sa vie parce que l’exercice qui doit lui permettre de quitter le cocon pour sortir est l’exercice qui permet de transférer la force de son bras à ses ailes pour pouvoir voler. C’est pour vous dire que ceux qui pensent qu’il faut rester à la maison, s’amuser et attendre les autres pour réussir dans la vie aboutissent soit à une paralysie, soit à une pauvreté, soit à un échec. Vous devez accepter de passer par le moule nécessaire, de passer par le cocon pour qu’à travers ce passage vous ayez la force, l’intelligence, les compétences, les caractères nécessaires pour que vous puissiez être plus fort que les problèmes, être plus dense que les problèmes et que vous puissiez faire face à toute situation difficile de la meilleure des manières.

Nous devons aller à l’école et surtout vivre pleinement l’école en étant attentifs, ouverts d’esprit, en posant des questions afin de mieux comprendre, faire la différence et réussir.

LE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL ET LA RÉUSSITE DES ENFANTS

De façon très simple, le Développement Personnel est le développement de ma personne. Par ma personne, il faut entendre, mes compétences intérieures. En fait, Dieu a mis en chacun de nous des compétences illimitées qui nous permettent de tout réussir.

Lorsque je prends une bouteille d’eau, je bois l’eau, qu’est-ce que je fais de la bouteille ensuite ? Très souvent on la jette. Pourquoi, parce que c’est le contenu qui nous intéresse.

Mieux, le prix d’une bouteille d’eau plate n’est pas le prix d’une bouteille d’eau glacée. Pourquoi, parce que l’eau quand elle est fraiche pour certains à plus de valeur, est plus utile, plus agréable. Le prix change donc en fonction du contenu.

Ça veut dire quoi, ce que nous avons à l’intérieur de nous fait notre valeur. Plus vous prenez conscience de qui vous êtes, plus vous prenez conscience de Dieu en vous, plus votre vie est agréable, réussie, apaisante. Plus vous travaillez à bonifier le contenu, donc ce qui est à l’intérieur de vous, plus vous faites du développement personnel, plus vous évoluez en termes de santé, de longévité, d’argent, de bonheur. Plus vous avez de la valeur.

Dieu a mis en nous justement une force incroyable qui fait que notre contenu est tellement bon, tellement précieux,  tellement  puissant que nous pouvons tout réussir dans la vie. Dieu s’est individualisé en chacun de nous.

A la naissance, chacun de nous croit naturellement qu’il a droit à la santé, à la longévité, au bonheur, à la protection et à la prospérité. Effectivement, la plupart d’entre nous avons eu tout ça sans rien faire pour cela. Il suffit que l’enfant pleure pour qu’on accoure pour lui donner à manger, il mange sans travailler, il est habillé, il reçoit des jouets, il est logé, etc

A un certain âge, on commence à essayer de se tenir debout, ensuite on essaye de marcher, puis on essaye de manger tout seul, on essaye de parler. Et on réussit tout ça. On y arrive tous, on marche sans l’aide de personne, on mange sans se salir, on parle parfois plus que les parents eux-mêmes.

A un moment donné, il devient parfois plus difficile de tout réussir simplement à cause de certaines informations, de certaines restrictions soit à l’école, ou de la religion, ou de la société qui en fait contribuent à diminuer la puissance de ces compétences et de la force que Dieu a mise en nous.

Le Développement Personnel permet donc de retrouver sa vraie identité et donc de retrouver tout ce que Dieu a prévu pour nous. Chez les enfants, cette force que Dieu a mise en nous, ces compétences sont encore bien présentes et bien puissantes mais il faut maintenant faire le développement personnel pour maintenir et même augmenter cette force qui nous rend invincible.

Dès que nous prenons conscience que Dieu est individualisé en nous, que lorsque nous respirons, Dieu respire, que lorsque nous mangeons, Dieu mange, à ce moment-là, nous devenons Être humain et invincible et fier.

Pour que vous compreniez bien la notion d’Etre humain, partons d’abord de l’humain. Un humain dans ce contexte est quelqu’un qui n’a pas activé Dieu en lui.

Je vous explique autrement. Quelqu’un a deux nationalités, la nationalité béninoise et la nationalité française.

Il arrive à l’aéroport pour aller en France et sors son passeport béninois qui n’a pas de visa. On le retourne alors qu’il a bien un passeport français.

C’est la même chose chez l’humain, il a Dieu en lui, le patron, le commandant en chef, celui qui protège contre tout et contre tous mais il ne l’a pas activé. Il n’a pas activé Dieu en lui il reste donc un humain. Quand on active Dieu en nous, on devient des Êtres humains, la combinaison parfaite entre Dieu et l’humain. L’Etre C’est Dieu. Il dit lui-même, je suis celui qui suis. Il est le seul Être. Il est l’Etre le matin, à midi et le soir.

L’Etre et donc Dieu est individualisé en chacun de nous et en tant qu’Humain, nous devons le rencontrer pour devenir Être humain.

A partir de cet instant où nous devenons la combinaison parfaite     de l’Homme et de Dieu en nous, plus rien ne peut nous échapper et résister devant nous.

La première chose à faire après avoir lu ce document est de prendre conscience et à jamais qu’on à Dieu en nous, qu’on peut et doit l’activer pour devenir des Etres humains qui avons droit à tous les bons.

Nous devons aussi faire le Karaté de Cerveau. C’est-à-dire refuser toutes choses négatives qu’on dit sur nous. Quand quelqu’un me dit que je ne peux pas réussir à faire quelque chose, je réponds automatiquement je suis capable et je vais réussir. Lorsqu’on me dit que je suis nul, je réponds je suis le meilleur.

Il peut arriver qu’on soit devant des personnes âgées à qui répondre ainsi serait mal vu, dans ce cas, il faut répondre immédiatement dans notre tête et rejeter le négatif.

Quand j’étais plus jeune, je disais à mes sœurs que je serai un grand conférencier plus tard, elles me disaient toujours que c’était impossible et se moquaient même de moi.

Elles ne le faisaient pas pour être méchantes mais ces paroles auraient pu m’empêcher de devenir le grand conférencier  que  je suis. Heureusement, je rejetais immédiatement ce qu’elles disaient en répétant que je serai un grand conférencier.

Chaque enfant doit donc  travailler  son  développement  personnel en rejetant tout ce qu’on lui dit de négatif et aussi en répétant continuellement des phrases positives sur lui.

C’est d’ailleurs pour ça que le coach POGNON a conçu le bouclier de protection, de santé et de victoire que ses enfants au travers du monde répètent tous les jours, avant d’aller à l’école et avant de dormir.

Répéter des phrases positives sur soi-même permet de programmer son cerveau pour penser seulement ce qu’il y a de meilleur, travailler pour le meilleur et s’attendre au meilleur.

Faisons notre développement personnel, devenons des Etres humains.

UN ENFANT SCOUT GAGNE TOUT

Le scoutisme a été créé par un colonel anglais nommé Robert Baden Powell. Après avoir été promu au grade de colonel, il était chargé de défendre une ville de Mafeking avec sa population, avec un millier d’hommes armés mais il lui manquait la transmission sans laquelle aucune guerre ne peut être gagnée. Dans l’armée, la transmission est un système de communication qui permet au soldat de rendre compte et recevoir des instructions sans que l’armée adverse ne puisse capter le message. La plus grande armée du monde ne peut gagner aucune guerre sans transmission.

Encerclés donc par l’armée adverse, incapables de s’approvisionner en nourritures et en cartouches, incapables d’informer ses supérieurs pour recevoir de l’aide et des instructions, Robert BADEN-POWELL et sa troupe étaient voués à la mort.

C’est alors qu’il eut une idée géniale, qui consistait à donner de l’importance à ceux à qui l’armée adverse ne donnera pas de l’importance, les enfants.

Robert BADEN-POWELL eu une idée géniale, remettre aux enfants qui jouaient, un message codé. Les troupes ennemies comme beaucoup de personnes pensent que les enfants ne savent que s’amuser et ne peuvent pas assumer de responsabilité. Ils ont donc laissé passer les enfants sans vérifier ce qu’ils avaient sur eux.

C’est ainsi que les enfants ont pu transmettre des messages codés et recueillir des renseignements sur les stratégies et positions de l’ennemi. Robert BADEN-POWELL avait compris que les enfants sont très intelligents et surtout très utiles.

Du retour de sa mission, il a écrit et sorti le manuel du scout ou il expliquait comment il serait possible de développer les extraordinaires capacités des enfants et les utiliser dans leur quotidien.

Ce livre n’a pas été utilisé comme il l’espérait par les enseignants et les organisations de jeunesse.

En 1907, dans une ile du sud de l’Angleterre, il organise un camp expérimental et embarque une vingtaine de jeunes désœuvrés. A ces jeunes citadins qui ne savaient rien faire de leurs dix doigts, il apprend à s’improviser explorateurs, défricheurs, enquêteurs, secouristes, bâtisseurs de cabanes et marins. De plus, il les engage à rendre service à leur prochain ;

Robert BADEN-POWELL a donc décidé de créer le mouvement Scout au début du XXème siècle. Il s’agit d’un mouvement mondial de jeunesse utilisant la méthode scoute, un programme d’éducation mettant l’accent sur les activités pratiques de plein air, y compris     le camping, l’artisanat sur bois, l’aquariophilie, la randonnée, la randonnée pédestre et les sports.

Le Mouvement Scout est défini comme étant « un mouvement éducatif pour les jeunes, fondé sur le volontariat ; c’est un mouvement à caractère non politique, ouvert à tous sans distinction d’origine, de race, ni de croyance, conformément aux buts, principes et méthodes tels qu’ils ont été conçus par le Fondateur. »

Le scoutisme apporte de la considération aux enfants. Quand le coach POGNON était enfant, toutes ses sœurs, ses parents le prenaient comme un tout petit garçon, quelqu’un qui ne peut rien faire de sérieux. Mais une fois dans le scoutisme, il était bon. Il était encouragé, il était responsabilisé ; il était considéré comme intelligent, compétent. Il se voyait capable de faire de grandes choses. Quand à la maison, le coach POGNON était considéré comme le bébé de tout le monde, il n’était pas confronté aux réalités de la vie. Mais grâce au scoutisme, il a appris à se défendre tout seul, à résister devant l’adversité. Il devenait fort de caractère, intelligent et doué.

Un enfant scout, c’est  quelqu’un  qui  connaît  le  scoutisme,  les  lois du scoutisme. C’est cet enfant qui a appris les techniques du scoutisme et qui face à certaines situations de la vie peut développer les enseignements du scoutisme pour relever des défis. Il devient un enfant qui reste debout face à l’adversité, un enfant qui aide ses parents à la maison, un enfant qui prend soin de son corps, un enfant honnête et intègre, un enfant de valeur.

Un enfant scout c’est quelqu’un qui respecte les lois scoutes et qui applique les techniques du scoutisme ; c’est un enfant qui gagne tout. Le coach POGNON était invité un jour dans une mairie du Burkina Faso, arrivée sur les lieux, il vit le comportement du maire. Il a commencé par se dire «ce monsieur doit être un scout». Il a certainement fait le scoutisme. Et effectivement après les renseignements, le maire était un ancien scout. Le scoutisme se lit dans les comportements. Un enfant scout est toujours remarquable. Il est toujours actif et très intelligent dans ses actions. Le scoutisme permet à tout le monde de réussir dans la vie parce que tu peux t’en sortir dans n’importe quelle situation. Un enfant scout gagne tout.

L’AMOUR DE DIEU POUR LES ENFANTS

L’enfance est souvent regardée avec mépris. Ce fut l’erreur de Goliath qui regardait David de façon méprisable. Pour vous permettre de comprendre, voici l’histoire de Goliath et David.

Les Philistins, étaient revenus combattre contre Israël et les trois frères aînés de David avaient rejoint l’armée. Un jour, David devait apporter du grain rôti et du pain à ses frères.

Dès qu’il est arrivé au camp, David courut à la ligne de bataille pour voir ses frères. Un géant philistin nommé Goliath s’avança vers les Israélites pour les insulter. Il s’était présenté ainsi matin et soir pendant 40 jours. Il leur criait : ‘Choisissez-vous un homme pour qu’il vienne me combattre. S’il est le plus fort, nous serons vos esclaves. Mais si c’est moi le plus fort, vous serez nos esclaves. Je vous lance un défi.’

David demanda : ‘Que fera-t-on pour l’homme qui abattra ce Philistin et qui délivrera Israël de la honte qui lui est faite ?’ On lui répondit : ‘Saül comblera le vainqueur de grandes richesses et lui donnera sa fille pour femme.’

Tous les Israélites avaient peur de Goliath, tellement il était grand.    Il mesurait près de trois mètres ! On rapporta au roi Saül que David voulait combattre Goliath. Mais Saül dit à David : ‘Tu ne peux te battre avec ce Philistin. Tu n’es qu’un petit garçon et lui a été soldat toute sa vie.

David répondit : ‘J’ai tué un ours et un lion qui emportaient des moutons du troupeau de mon père. Et ce Philistin aura le même sort. Dieu me sauvera.’ Alors Saül dit : ‘Va, et que Dieu soit avec toi !

David alla et se choisit cinq pierres lisses qu’il mit dans son sac de berger. Puis, il s’avança vers le géant. À sa vue, Goliath fut stupéfait. ‘Viens vers moi’, lui cria Goliath, ‘pour que je donne ton corps en pâture aux oiseaux et aux bêtes.’

David répondit : ‘Toi, tu viens à moi armé d’une épée, d’une lance et d’un javelot ; moi, je viens à toi armé du nom de Dieu. Aujourd’hui même, Dieu te livrera entre mes mains.

Alors David courut vers Goliath. Il tira une pierre de son sac, la mit dans son lance pierre et la lança de toutes ses forces. La pierre atteignit le géant au front et s’y enfonça. L’homme tomba raide mort ! Les Philistins, voyant que leur champion était tombé, s’enfuirent. Les Israélites les poursuivirent et furent victorieux.

Comme vous le voyez, Goliath à fait l’erreur de minimiser l’enfant David et a payé les conséquences. Comment les adultes traitent les enfants ? Comme des enfants, vous allez me dire. Mais, enfant jusqu’à quel âge ?

Et là, on se trouve avec des adultes qui traitent les jeunes comme des enfants de 5 ans, alors que même certains avaient un doctorat ou un diplôme d’ingénieur.

Tous ceux qui croient que l’enfant n’est rien, ne vaut rien font l’erreur de Goliath et risquent d’être ridiculisés. Dieu pour sa part, a choisi de considérer l’enfant car il sait que tout adulte a d’abord été un enfant.

La parole de Dieu affirme clairement que Dieu aime les enfants. Dieu a manifesté son amour et sa profonde préoccupation pour les enfants en donnant de nombreuses instructions dans l’Ancien Testament sur la façon de les enseigner.

Jésus a prouvé de plusieurs manières son grand amour et intérêt pour les enfants, Il les accueillait, Il les embrassait, Il acceptait leurs louanges, Il pourvoyait à leurs besoins physiques, Il ne voulait pas qu’ils soient offensés, rejetés ou méprisés, Il les invitait à venir à lui, Il voulait qu’ils soient sauvés, Il ne voulait pas qu’ils soient perdus.

On lui amena un jour des petits enfants, afin qu’il leur imposât les mains et priât pour eux. Mais les Disciples les repoussèrent. Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à Moi ; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent.

Le prophète de l’islam avait aussi une façon de traiter les enfants avec amour, affection, mais aussi maturité. Il jouait avec les enfants. Dans la rue les enfants, lui prenaient la main, et le faisaient courir avec eux, et ils les suivaient.

Il faisait la monture pour ses petits-enfants en marchant à quatre pattes portant sur son dos les enfants. Il n’hésita pas à interrompre des prêches du vendredi et descendre pour relever son petit-fils qui titubait devant lui dans la mosquée.

Il restait en prosternation, aussi longtemps que sa petite-fille, restait sur son dos et qu’elle profitait de cette position. Il faisait la prière alors qu’il portait sa fille. Quand il se prosternait déposait l’enfant et quand il se levait la portait.

Un jour, il était assis et un de ses petits-fils vint à lui, et il le prit et l’embrassa sur son front. Un homme assis à côté, interloqué par ce geste, s’exclama : « j’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé l’un deux. » Il lui répondit : « Que pourrais-je pour toi, si la miséricorde a été retirée de ton cœur ! »

Les enfants sont proches du cœur de Dieu. Dieu reconnait l’importance des enfants, il apprécie les enfants et respecte les enfants. Personne ne peut plaire à Dieu s’il ne respecte les enfants, s’il ne reconnait leur importance et s’il ne prend pas soin des enfants. Mes chers enfants, vous êtes importants pour moi, pour vos parents, pour Dieu, ne l’oubliez jamais.

A ce stade, il me parait important de vous dire qui est Dieu. Comme le dit souvent le Coach Patrick Armand POGNON, Dieu est le commandant en chef, c’est le patron de tout, c’est celui qui ouvre et personne ne peut fermer, c’est celui qui ferme et personne ne peut ouvrir. La puissance de Dieu est infinie et illimitée, Dieu est présent partout au même moment, comme personne ne peut l’être. Dieu connait tout. Dieu est le protecteur des enfants.

Maintenant, parlons  de l’amour. L’amour, est  un don de soi, c’est  le fait d’accorder une partie de moi ou une partie de mes biens à quelqu’un ou à quelque chose. Lorsqu’on parle de l’amour de Dieu pour les enfants, on parle du don de Dieu aux enfants. Il leur accorde une partie de son temps, une partie de sa présence, une partie de sa protection, une partie de son cœur, de son argent, de sa nourriture, de ses connaissances. Oh oui, chers enfants, Dieu vous aime, il vous aime tellement.

L’amour de Dieu pour les enfants explique pourquoi ceux qui connaissent Dieu aiment et respectent les enfants. En effet, celui   qui n’aime pas les enfants n’aime pas Dieu. Celui qui n’aime pas les enfants est privé de la grâce de Dieu, des bénédictions de Dieu. Pour être en accord avec Dieu, on doit aimer les enfants. Quels que soient les moyens des parents, Dieu leur donne toujours de l’argent pour s’occuper comme il faut des enfants.

Dieu aime les enfants parce qu’ils sont simples, ils aiment tout le monde, ils prennent toujours la vie du bon côté et profitent pleinement de la vie. Dieu aime tellement les enfants que lorsqu’ils font des bêtises, il est triste, lorsqu’ils font des choses qui empêchent et retardent leur réussite, cela l’attriste. Ça lui donne envie de pleurer.

Pour chaque acte que nous posons en tant qu’enfant, nous devons nous demander, est ce que je ne risque pas de rendre Dieu triste en faisant ça ? Est-ce que Dieu mérite que je le rende triste alors qu’il m’aime autant ? La réponse à ces questions nous permet de faire ce qu’il faut et de rester les enfants chéris de Dieu, de profiter pleinement de son amour et de sa grâce. Partout où tu te trouves, garde en tête que tu as l’amour de Dieu et que tu dois tout faire pour le garder.

LA SAGESSE DU ROI SALOMON

Il était une fois, deux femmes se disputaient un nouveau-né. Pour résoudre le problème, elles allaient voir le roi Salomon. Ce dernier ordonna que le bébé soit découpé en deux afin que chacune des femmes ait une part.

L’une des femmes renonça tout de suite à l’enfant en disant qu’elle préférait le voir vivant plutôt que découpé.

Le roi Salomon a pu ainsi découvrir la vérité sur qui était réellement la maman de cet enfant. Il a donc rendu l’enfant à sa véritable mère. Il sait qu’une véritable mère n’acceptera jamais que son bébé soit découpé. Le roi Salomon a fait preuve de sagesse afin de découvrir la véritable mère du bébé.

Le roi Salomon est le fils du roi David. C’est un roi exceptionnel caractérisé par sa sagesse reconnue dans le monde entier. Quand on parle du roi Salomon, on voit tout de suite la sagesse parce que quand Dieu a demandé à Salomon de dire tout ce qu’il voulait, Salomon a demandé à Dieu la sagesse. Nous demandons des choses que nous avons déjà. Dieu a donc mis des épreuves devant lui et en résolvant ces épreuves, Salomon a révélé la sagesse en lui.

Nous avons tous la sagesse en nous parce que Dieu est en nous. Nous avons la capacité de distinguer le bien du mal, nous avons l’honnêteté en nous, nous avons la réussite en nous. Lorsque nous demandons à Dieu de nous les donner, il nous les révèle.

Le roi Salomon a écrit les livres suivants : Cantique des Cantiques ; Proverbes où il raconte ses expériences de sagesse ; Ecclésiaste écrit au soir de sa vie. Le roi Salomon a tout eu, argent, femmes, bonheur et plaisir.

Au soir de sa vie, Salomon a dit «j’ai cherché le plaisir, mais j’ai vu que le plaisir sans Dieu n’est rien, j’ai cherché l’argent, mais j’ai vu que l’argent sans Dieu n’est rien, j’ai cherché la gloire, les femmes tout ça sans Dieu ce n’est rien. La seule chose que je devais chercher et que je n’ai pas cherchée, c’est Dieu lui-même.»

Écoutez, chers enfants. Chercher Dieu veut dire tout simplement que : lorsque tu veux poser un acte pose-toi la question «est-ce que Dieu est d’accord ?» Quand tu manques de respect aux parents est-ce que Dieu est d’accord ? Quand tu as de mauvaises notes est-ce que Dieu est d’accord ? Est-ce que Dieu est d’accord quand tu te mets dans des choses d’adultes (relation amoureuse).

Fais toujours en sorte d’avoir la qualification avec Dieu parce qu’avec Dieu tu as tout. Tu as l’argent avec Dieu, tu as la reconnaissance avec Dieu, tu as la sagesse avec Dieu.

Faites-moi plaisir, les enfants. Donner la priorité à la priorité. La priorité c’est réussir votre vie, travaillé en classe, réussir aux examens, réussir avec les meilleures notes. Faites la joie de Dieu, faites la joie de vos parents, faites la joie du coach POGNON. Si tu réussis ça, tout le reste est une réussite.

Cherchez à plaire à Dieu et tout le reste vous sera donné. Une vie sans Dieu n’est rien. Et réussissez comme moi. Rendez Dieu fier, rendez vos parents fiers, rendez-moi fier, je vous aime et nous sommes ensemble pour tout gagner.

TUE-LES AVEC TON SUCCES ET ACHEVE-LES AVEC TON SOURIRE

Le succès est un sentiment d’accomplissement, une joie, une satisfaction personnelle, un bonheur. Celui qui a le succès n’a pas une mine renfrognée.

Tue-les avec ton succès, signifie répondre avec ton succès. Pendant que certains te sabotent ou t’humilient ; ne pense même pas à réagir par la bouche, mais plutôt avec la réussite de ton travail ou de ta satisfaction personnelle. On dit : «ce que tu fais, parle plus fort que ce tu dis».

Tu peux tuer avec ton succès ceux qui te veulent du mal, ceux qui parlent mal de toi, ceux qui te dénigrent et te calomnient. Jésus et Mahomet ont su tuer avec leur succès ceux qui parlaient mal d’eux. Toi aussi tu peux le faire.

Lorsqu’une personne t’insulte ou t’humilie, tu ne dois même pas répondre maintenant ni après. Il faut répondre plutôt avec ton succès. C’est ce qui amène Usain Bolt à dire : «Tu peux parler de moi ou non ; ce qui compte pour moi, c’est ma satisfaction personnelle, ma réussite».

En effet, bien qu’il ait un pied plus long que l’autre, Usain Bolt a réussi, mais il est le meilleur coureur au monde. Cet athlète a tué par son succès tous ceux qui parlaient de lui.

Ne te focalise pas sur ceux qui t’ont humilié. Pense au meilleur, mais aussi à la prospérité qu’ils n’ont pas vue en toi. Sache que tu es au service d’un Dieu puissant. Et ce Dieu puissant fera en sorte que les insultes de ceux qui t’ont dénigré, ceux qui disent que tu es le dernier, tu es paresseux, tu es bête, se transformeront en applaudissements. Ils verront qu’en réalité Dieu n’a oublié personne. Ils verront ton succès, ta réussite, ton triomphe.

On peut comprendre dans la seconde partie de la phrase qui dit : « achève-les avec ton sourire » qu’il faut pardonner ceux qui se    sont moqués de toi. Au fait, il ne s’agissait pas plus haut de les tuer négativement, mais il s’agit de ne pas être rancunier envers eux. Au Bénin par exemple, il fut un temps, le président Patrice TALON a tué avec son succès tous ses adversaires politiques, mais il ne les a pas achevés avec son sourire parce qu’il ne les a pas pardonnés. C’est-à- dire qu’il ne les a pas libérés des prisons. Achève-les avec ton sourire, c’est de pardonner, de libérer ceux qui t’ont fait du mal, car sans eux, tu n’aurais pas réussi, tu ne serais pas arrivé à ce bonheur prestigieux, à cette satisfaction personnelle que tu savoures sans cesse.

En tant qu’enfant du coach POGNON, tu fais usage de la phrase : «Tue-les avec ton succès et achève-les par mon sourire» quand tu réponds aux parents, qui t’ont traité de bon à rien, en réussissant à tes examens. Tu fais usage de cette phrase quand tu deviens meilleur que tes enseignants qui autrefois te traitaient de taré. Alors, pense à tous ceux qui ont dit que tu es un bon à rien, car il viendra le moment où tu vas les tuer avec ton succès pour ensuite les achever avec ton sourire.

L’AMOUR DE SOI

Pour une bonne compréhension de ce thème, trois mots clés à approfondir :

  • Amour
  • Amour de soi
  • Incontournable

L’Amour : c’est le don de soi, c’est donner une partie de ce que tu as de précieux.

L’Amour de soi : c’est le don de soi à soi-même ; c’est donner à soi- même une partie de ce qu’on a de plus cher.

Incontournable : est incontournable ce qui est obligatoire ; la seule manière de faire pour avancer ; la seule manière de faire pour bien vivre ; la seule manière de faire pour être pour avoir une bonne relation avec DIEU.

L’INCONTOURNABLE AMOUR DE SOI, c’est alors donner nécessairement à soi-même, une partie de tout ce qu’on a de précieux, afin de bien vivre

Qu’est ce que chacun de nous dispose de précieux et qu’il puisse donner ?

Voici une liste de certaines choses précieuses dont dispose chacun de nous.

  • Le sourire
  • La joie
  • La gaieté
  • La bonne humeur
  • Le dévouement
  • La confiance
  • La foi
  • Le courage
  • La considération
  • Le plaisir
  • L’énergie
  • Le temps
  • La personnalité
  • La valeur
  • L’importance
  • La générosité
  • Le pardon
  • Etc., etc.

Toute cette liste (incomplète) est contenue dans ce qu’on appelle AMOUR. Lorsqu’on sait donner toutes ces choses à soi-même, on sait en donner à son prochain.

Pourquoi l’AMOUR DE SOI ?

En développant l’Amour de soi,

  • On apprend à consacrer une partie de son temps à soi-même, afin d’être utile à soi
  • On apprend à se donner de la considération et de l’importance
  • On prend véritablement conscience qu’on a de la valeur et qu’on est capable de beaucoup de choses
  • On sait utiliser utilement une partie de ses revenus pour soi- même d’abord
  • On s’est se donner du plaisir
  • On sait d’abord se préoccuper de soi-même avant les autres.

Bien évidemment, le véritable AMOUR DE SOI n’a aucun lien avec l’EGO défini comme le « TOUT POUR SOI et rien pour les autres ». L’Amour de soi accorde les mêmes valeurs à soi qu’aux autres.

L’une des phrases de programmation nous enseigne : « m’aimer moi- même et les autres, me permet de m’épanouir et de vivre au maximum de mes possibilités. »

Lorsque je m’aime véritablement, c’est avec beaucoup de plaisir que j’aimerai les autres ; c’est avec beaucoup de facilité que je donne du sourire à toutes les créatures vivantes que je croise sur le chemin de ma vie. Je sais très facilement m’abandonner à la joie. Je sais pardonner en toute circonstance. J’active en moi la santé ; je sais être généreux ; je développe le lâcher prise parce que je me fais désormais confiance et je sais faire confiance en DIEU individualisé en moi.

« Je m’aime, je m’accepte, je me respecte ». L’AMOUR DE SOI entraine une véritable prise de conscience de qui je suis, ce qui entraine le respect pour moi-même, la considération pour moi-même et le développement de toutes les potentialités en moi (l’exploration de tous les compartiments de mon cerveau).

Avec l’Amour de soi, j’aime apprendre,  j’aime  entreprendre,  je  sais à tout moment trouver du temps pour apprendre et j’aime me perfectionner pour réussir ; j’aime continuer jusqu’à réussir ; j’aime tout faire avec plaisir.

En développant l’Amour de soi, j’apprends à perdre moins de temps pour ce qui ne me fait avancer en rien (les commérages, critiquer les autres, les bavardages inutiles etc.)

En développant l’Amour de soi, j’aime accompagner les parents dans leurs tâches quotidiennes.

L’AMOUR DE SOI est un dispositif obligatoire à développer pour tout réussir dans la vie : c’est la base du Développement Personnel.

Il est à rappeler que le premier pouvoir du Développement Personnel est de « mettre l’Amour au centre de toute chose » ; mettre l’Amour au centre de toute chose commence par l’AMOUR DE SOI.

Toute personne qui sait se donner de l’amour sait donner de l’amour aux autres, sait respecter les autres, sait se donner de l’importance et sait donner de l’importance aux autres et à toute chose. Il sait découvrir le côté ensoleillé de toute chose.

Sachons découvrir toutes les potentialités en nous en développant notre AMOUR pour NOUS-MÊMES. C’est le passage obligé pour notre voyage vers DIEU individualisé en nous.

Maintenant que je connais le pourquoi de l’INCONTOURNABLE AMOUR DE SOI, Je prends l’engagement, dès à présent, d’œuvrer au quotidien pour le développement de ce levier du Développement Personnel en apprenant à me dire merci, dire merci à mon corps, dire merci à toutes les parties de mon corps et reconnaitre l’importance et la valeur de tout autour de moi.

EST-IL VRAIMENT POSSIBLE DE CHANGER ?

Dieu nous a créés comme on est censé être. A la naissance, chacun  de nous croit naturellement qu’il a droit à la santé, à la longévité, au bonheur, à la protection et à la prospérité. Effectivement, la plupart d’entre nous avons eu tout ça sans rien faire pour cela. Il suffit que l’enfant pleure pour qu’on accoure pour lui donner à manger, il mange sans travailler, il est habillé, il reçoit des jouets, il est logé, etc

Dans l’entendement de l’enfant, ses parents s’en chargent  avec  l’aide de Dieu, la quasi-totalité des enfants à moins d’un évènement extraordinaire a vécu de cette façon. Ce qu’il croit intérieurement, inconsciemment ou non, se réalise automatiquement.

Progressivement, l’enfant quitte son état d’inconscience qui lui a conféré protection, santé, nourriture, habits, logements, pour progressivement tendre vers un Etat ou il commence par gouter au manque, manque d’argent, manque de nourriture, manque de protection, etc.

Par Notre bouche, nos relations et notre environnement, nous avons modifié cela. Résultat, cette modification a produit le résultat actuel. Si l’on est satisfait du résultat actuel, on continue. Mais si c’est le contraire, on doit changer.

Le changement c’est le fait de quitter une manière de faire, d’être et d’agir pour une autre manière d’être et d’agir. Il va falloir changer ma façon d’être et d’agir afin de produire un autre effet. Changer c’est cesser ces choses que tu fais et qui produisent de mauvais résultats et de faire ce qui va te produire un bon résultat. Changer c’est produire une modification de l’état actuel pour obtenir une modification dans le résultat.

En effet, les mêmes causes produisent les mêmes résultats dans les mêmes conditions. Il faut que tu changes quelque chose dans ta vie pour obtenir un changement dans ta vie.

La première chose qu’il faut changer dans sa vie, c’est son discours. Tu dois changer ton discours. Tu dois cesser de parler de toi comme une personne qui ne peut pas réussir. Tu dois être positif et bon. Deuxième chose à changer, ce sont tes fréquentations. Tu dois arrêter de fréquenter des casseurs de réussite ; c’est-à-dire les amis qui veulent t’amener à faire ce qui n’est pas bon pour toi, ce qui ne va pas te permettre de réussir.

On peut vraiment changer ses propres  habitudes  en  commençant par le changement de son discours. En faisant ainsi, je vais obtenir le changement de mes pensées. Ces pensées vont produire le changement de mes résultats, et mes résultats vont provoquer le changement de mes habitudes. Après l’étape des habitudes, vient le changement de mon caractère par la suite celui de mon destin pour aboutir au changement de ma vie.

Retenons tout simplement qu’à partir de mon discours, je peux tout modifier. Pour réussir, oublions les mauvaises habitudes. Pensons positif et programmons. Et quand les choses arrivent, je les analyse. Si c’est bon pour moi, je fonce. Mais si ce n’est pas bon pour moi, j’abandonne.

LE DERNIER VIRAGE

Je vais vous raconter l’histoire de Jessica.

Jessica était une fille qui avait eu la malchance de naître dans un environnement où ça bavarde trop. C’est-à-dire que les enseignants  la critiquaient tout le temps. Ses parents la critiquaient tout le temps aussi. Autour de Jessica, tout ce qu’on pouvait remarquer ce sont les critiques même de la part de ses amis. Ainsi dans la tête de Jessica il y avait trop de bruits.

Au fait, personne ne savait que lorsque Jessica faisait une erreur c’est elle qui souffrait plus que tout le monde. Au lieu qu’on la soutienne pour la faire sortir de cette erreur, on l’assommait encore dans cette erreur. Jessica avait donc la malchance d’être dans un environnement ou presque personne ne l’aime. Mais il y avait son père à l’image de DIEU qui croyait en Jessica, qui aimait Jessica et qui disait malgré tout Jessica va réussir. Même quand Jessica fait une erreur, il dit que Jessica va réussir. Quelque temps après, le père de Jessica est passé dans la pièce à côté. Mais avant ça, il a choisi Jessica pour lui succéder. Tout le monde était contre. Cette fille qui ne travaille pas en classe ne peut pas être le choix de son père. Mais c’est là que DIEU a révélé en réalité qui est Jessica.

Jessica est un peu comme beaucoup d’entre vous ; un enfant formidable qui voulait être premier, mais n’a pas pu l’être, un enfant formidable qui voulait réussir, mais qui parfois a échoué. Mais lorsque Dieu a sonné son heure, lorsque le dernier virage est arrivé, elle était la meilleure de toutes. Oui Jessica c’est cette personne qu’on a tellement critiquée, mais qui un jour Dieu décide de révéler et de montrer au monde qui est qui et qui fait quoi. Ce sera pareil pour toi. Dieu va te révéler malgré les mots peu agréables auxquels tu as eu droit.

Dans le dernier virage, c’est toi qui seras en tête, c’est toi qui vas gagner. Dans le dernier virage, ce qui fait qu’on gagne c’est quand on reste accrocher à nos rêves. Un rêve c’est se voir un jour avec une réussite totale, c’est de se voir dans les meilleures conditions possibles, c’est les ambitions que quelqu’un se donne, c’est la réalisation de grand projet de sa vie. Qui parmi vous n’a pas envie d’avoir une vie comblée, une vie épanouissante.

Je vais vous dire lorsque j’étais enfant, l’un de mes rêves était de voyager comme mon père, parce qu’il était arbitre international et commissaire CAF-Fifa. Donc tout le temps, il dit qu’il va en voyage. Tantôt, on dit qu’il est au Mali, tantôt il est au Cameroun, tantôt il est à la coupe du monde. Vous voyez, je regardais la télévision et je voyais les joueurs et je me disais que mon père est là-bas également. Je me suis dit que j’allais voyager comme mon père. C’était le rêve de Coach Patrick Armand POGNON et aujourd’hui je voyage quand je veux, je voyage comme je veux.

Il faut surtout que nos rêves surpassent nos excuses. Les excuses c’est les raisons qu’on se donne pour ne pas faire ce qui est bien, pour ne pas prendre le bon chemin, pour emprunter les mauvais chemins.

Lorsque vous êtes dans le coaching et que vous êtes princes et princesses du Coach POGNON, vous ne devez pas avoir des excuses. Une excuse c’est quand tu dois prendre le cahier à une heure donnée et tu commences par trouver des justifications pour ne pas le faire ; c’est quand tu dois dormir un moment donné et tu trouves une raison pour ne pas le faire.

Il faut à tout prix éviter les excuses afin de pouvoir tenir dans le dernier virage, les moments importants pour réaliser ses rêves et vivre la réussite.

AU NOM DES PARENTS, PARDON

Le pardon c’est quand une personne reconnaît avoir fait du mal à quelqu’un et lui demander la grâce d’oublier ça. C’est encore quand on vous fait du mal et vous décidez de laisser tomber ça.

Vous devez d’abord pardonner pour vous-même. Si vous ne pardonnez pas, vous allez passer tout le temps à développer la colère, la haine, l’esprit de vengeance et tout ça, rend malade. C’est comme si quelqu’un vous a fait du mal et vous vous faites encore vous-même du mal en refusant de pardonner.

En pardonnant cela vous permet de vous libérer, de laisser Dieu vous bénir, de laisser Dieu vous faire du bien. C’est pour cela que peu importe ce qu’on va vous faire, vous devez pardonner pour ne pas avoir de problème.

Vous devez demander pardon, parce que quand vous faites du mal à quelqu’un et qu’il vous pardonne Dieu guette maintenant l’occasion de vous sanctionner. Celui qui pardonne dit indirectement à DIEU, qu’il laisse tomber, ainsi Dieu va montrer à l’autre qu’on ne fait pas ça. C’est ce que ça veut dire pardonner. Alors, demander pardon, c’est éviter de supporter les conséquences de notre action.

Les enfants en attendant que les parents le fassent eux-mêmes, je voudrais vous demander pardon. Pardon pour les insultes, pardon pour les critiques, pardon pour le manque de confiance, pardon pour le manque de respect, pardon pour les occasions où l’on vous a frappé, pardon pour tout. Je voulais vous demander pardon au nom des parents pour toutes les fois où vous avez eu le sentiment de ne pas être aimé. Je voulais vous demander pardon pour les absences des parents, pour les manques de câlins, pour les occasions ratées où l’on devrait vous dire je t’aime, je te respecte, je compte sur toi.

À toi particulièrement au nom de tes parents je voudrais te demander pardon. J’espère que tu vas accepter la demande que je formule au de tes parents.

LA VIE EST UN ECHO

Un enfant est allé dans les montagnes avec son père et arrivé tout en haut des montagnes, il a dit bonjour et une voie lui répond bonjour. Il a dit «qui es-tu ?» La voix aussi dit «qui es-tu ?»

Après, l’enfant a dit «imbécile». La voix aussi répond «imbécile». Étonné, l’enfant demande à son père, «qui est celui-là qui me répond». Son père lui dit qu’on appelle ce phénomène «écho». Si tu lui dis quelque chose de bon, il te renvoie quelque chose de bon. Si tu lui dis quelque chose de mauvais, il te renvoie quelque chose de mauvais.

Pour essayer ce que son père venait de lui apprendre, l’enfant dit, «je t’aime». La voix dit, «je t’aime». Il continua. «Tu es très beau». La voix lui répond, «tu es très beau». L’écho c’est donc le retour de ce que nous envoyons.

La vie fonctionne comme un écho. Je vais vous donner un exemple très simple. Il s’agit d’un monsieur qui est allé vers un arbre. Il a à peine donné un coup à l’arbre, qu’il a reçu une gifle. Il ne savait pas d’où cela venait.

Voilà comment la vie fonctionne. C’est ce que vous donnez que vous recevez ; tout ce que vous donnez à la vie, elle vous renvoie ça. Si vous faites du bien, vous ramasserez du bien.

Si vous faites du mal, vous ramasserez du mal. Si tu es généreux, tu vas recevoir la générosité des autres. Ce que vous faites à DIEU, il vous le redonne. C’est pour cela qu’on dit quand il y a action, il y a forcément réaction. Vous devez alors être sage pour pouvoir récolter la sagesse et la bénédiction.

Pour vous assurer d’un bon écho, à chaque envoi de quelque chose, vous devez vous poser la question de savoir si ce que vous voulez envoyer vous revenait, vous seriez content.

C’est très important. Vous devez déterminer ce que vous allez envoyer en fonction de ce que vous voulez recevoir. Je vais vous donner un exemple très simple. Je vois mon camarade, je veux lui dire un mot. Avant, je dois me demander si j’aurai aimé qu’il me dise le même mot. Si oui, je peux le lui dire.

Ainsi ce mot va me revenir. Si je n’ai pas envie que ce mot me revienne, je ne le dis pas à mon ami.

Faites ou dites aux autres, ce que vous aimeriez qu’ils vous fassent ou qu’ils vous disent.

Je vais te raconter cette histoire. Un jour, une maman a préparé un bon repas pour son enfant, l’enfant a refusé de manger.

Fâcher, la maman demande à un bois : frappe-moi cet enfant. Le bois lui dit, il ne m’a rien fait de mal, donc je ne peux pas le frapper.

La maman demande ensuite au feu de brûler le bois pour ne pas avoir obéi, mais le feu dit, il n’a rien fait donc je ne peux pas le brûler.

La maman demande ensuite à l’eau : éteins-moi ce feu. Mais le feu dit : non, car il ne m’a rien fait de mal.

Elle demande à un mouton de boire l’eau pour n’avoir pas obéi, mais le mouton aussi refuse en disant, l’eau ne m’a rien fait de mal donc je ne peux pas le boire.

La maman demande enfin à un boucher qui depuis longtemps cherchait un mouton pour ses activités commerciales de tuer le mouton. Le boucher content va chercher de couteau pour tuer le mouton.

Aussitôt le mouton dit, si c’est le cas je vais boire l’eau pour qu’on ne me tue pas. L’eau dit, si c’est le cas je vais éteindre le feu pour ne pas être consommé. Le feu dit, dans ce cas je vais brûler le bois pour ne pas être éteint. Le bâton à son tour dit, je vais frapper l’enfant pour ne pas être brûlé. L’enfant dit à sa maman, je vais manger le repas pour ne pas être frappé.

Après avoir mangé, l’enfant trouve le repas très délicieux. À travers cette histoire, je veux te dire : ne donne pas l’occasion à tes parents de te frapper pour une leçon non apprise. Si tu apprends tes leçons   et tu fais tes exercices, personne ne va te frapper. Papa et maman seront toujours contents de toi et seront toujours à tes côtés pour t’encourager.

Tu es la réussite, tu es le meilleur, tu es né pour briller. Tu es la personne la plus importante aux yeux du Coach POGNON et de Dieu.

Alors, tous les jours dis-toi ceci : qui est important ? C’est moi. Qui est né pour réussir ? C’est moi. Qui doit être meilleur ? C’est moi. Qui est né pour briller ? C’est moi. Qui est né pour gagner ? C’est moi.

Je suis le meilleur, je suis la réussite ; 100 % réussite d’emblée.

L’IMPORTANCE CULTURELLE

La culture est l’ensemble des connaissances, des savoir-faire, des traditions, des coutumes, propres à un groupe humain, à une civilisation. Elle se transmet socialement, de génération en génération et conditionne en grande partie les comportements individuels.

De façon très simple, vous entendrez souvent parler de la culture béninoise, il s’agit des traditions des béninois, de la façon dont les béninois s’habillent généralement, de la langue des béninois, de l’histoire du Bénin depuis toujours, etc. De la même manière, vous entendrez parler de la culture togolaise, ivoirienne, burkinabè, gabonaise etc. Aussi, dans un même pays, il peut y avoir plusieurs cultures. C’est vraiment ce qui caractérise ou représente un groupe de personnes.

Connaitre sa culture permet à une personne d’avoir une identité complète, une dignité. Connaitre sa culture permet d’être complet.   Et lorsqu’une personne connait son identité, il est heureux, épanoui, complet.

Lorsque je me présente comme Béninois, Togolais, Ivoirien, Burkinabè, il y a toute une histoire et toute une culture qui va avec cette identité. Alors quand je la connais, quand je l’accepte comme faisant partie de moi, je me présente avec beaucoup plus de fierté, de dignité.

Connaitre l’histoire de nos arrière-grands-parents qui ont traversé l’insupportable mais l’ont quand même supporté au point d’arriver dans les différents pays occidentaux intacts et aptes à travailler, on comprend tout de suite qu’on ne peut se battre car on a ça en nous.

Je vais vous raconter l’histoire d’un roi du Bénin qui a terrorisé les occidentaux quand ils sont venus sans être invités.

L’histoire raconte que le colon, l’étranger qui voulait posséder la terre africaine, est un homme rusé, autoritaire et dictateur. Ses désirs selon lui étaient des ordres et des ordres indiscutables. L’un de ses désirs, un jour a été de prendre les vaillants enfants des africains pour aller les faire travailler pour lui, pour les envoyer loin de chez eux pour faire une guerre dont ils ne connaissaient même les causes.

Mais c’était sans compter sur ce digne fils d’Afrique qui a dit non, ça suffit. Il s’agit de KABA.

En fait, un jour, le neveu de Kaba fut recruté. Il s’agissait du fils unique de sa sœur qui devait travailler pour leur vieil oncle. Si le colon le met de force dans l’armée, l’oncle mourra de faim.

Ainsi le roi KABA dit : «trop c’est trop. Il a ainsi commencé à faire la guerre au colon, près d’une trentaine de groupes sociaux ethniques différents qui avait chacun leurs cultures ne s’entendaient pas, pourtant Kaba a réussi à les convaincre et à rallier tout le monde à sa cause pour combattre ensemble.

Kaba était un génie hors pair. C’était aussi un meneur d’hommes doué d’une intelligence extraordinaire. On disait que Kaba avait une force métaphysique et donc quand il décochait une flèche, elle atteignait toujours sa cible. Sa seule flèche pouvait même se multiplier et atteindre plusieurs cibles à la fois avant de revenir loger dans son carquois.

Vous avez eu l’occasion de voir le monument de Bio Guera, un paysan qui a dit non aux envahisseurs et qui les a combattus. Il a refusé de laisser des étrangers venir voler la terre de ses ancêtres.

Vous avez eu l’occasion de voir le monument de l’Amazone. Ces femmes des royaumes d’Abomey qui savaient combattre, qui neutralisaient des milliers d’Hommes.

Vous avez eu l’occasion de voir le jardin de Mathieu, un jardin en hommage à l’ancien président du Bénin. Vous avez eu l’occasion de voir la place Bayol avec la statue du Roi Toffa. Vous avez eu l’occasion de voir beaucoup de choses dans le musée Da Silva. Tout ceci permet de comprendre ce qu’est l’Afrique, de comprendre l’importance de l’Afrique, de comprendre notre histoire.

L’Afrique est le berceau de l’humanité car les premiers Hommes sont africains. C’est le berceau des civilisations car les premiers modes organisés de vie sont de l’Afrique, c’est le berceau des savoirs car les connaissances sont parties de l’Afrique.

C’est important de savoir que les plus grandes richesses de l’humanité sont en Afrique, c’est important de savoir que les feux tricolores, le téléphone, le réfrigérateur, l’ascenseur, la médecine, l’architecture, l’électricité, le sucre, et toutes les grandes choses du genre sont inventées par vos ancêtres.

Chers enfants, ce sentiment de fierté, de puissance qu’on ressent quand on connait son histoire, quand on est en phase avec sa culture est inestimable.

Chaque fois qu’on me parle des rois du Bénin et de leur histoire je me sens fier, chaque fois que j’écoute la musique de chez moi, je me sens fier, quand je vois les gens danser les danses traditionnelles, je trouve cela beau et je me sens fier, fier d’être Africain.

La culture, c’est aussi les repas, ce sont les danses. Les repas africains sont les meilleurs repas du monde, les danses africaines sont les meilleures danses du monde. Au delà de la fierté, la culture rapporte de l’argent, beaucoup d’argent.

Aujourd’hui, les gens viennent de partout pour visiter les monuments que vous avez vus. La culture rapporte de l’argent.

Mes chers enfants, lorsqu’un arbre n’a pas de racines, il ne peut pas survivre. La culture est la racine de l’Homme.

L’EXCELLENCE VOUS REND INOUBLIABLE

Il y a du plaisir à être le meilleur. Oprah Winfrey est une femme   née d’une famille pauvre. Cette dame a utilisé les sacs de maïs pour confectionner sa tenue pour aller à l’école.

Toi qui me lis, peux-tu accepter de porter ce genre de tenues ? Cette dame est passée de foyer en foyer, de maison en maison, jusqu’au jour où elle a décidé mettre fin à cette pauvreté. Grâce sa détermination, elle a réussi. Aujourd’hui, elle est la plus riche qui aide les gens un peu partout dans le monde. Dans la vie, on doit avoir la motivation pour faire quelque chose, pour avoir le plaisir que tout le monde parle de toi dans le monde entier. Comme Oprah Winfrey, tu dois réussir pour que le monde parle de toi, pour que tu sois cité en exemple partout dans le monde. Et pour y arriver, il te faut de la motivation.

La motivation première des enfants du coach Patrick Armand POGNON est de faire plaisir au coach POGNON, de faire plaisir à leurs parents et à eux-mêmes. Fais en sorte que tu sois fier de dire à tes progénitures quand tu étais comme eux, tu étais la réussite, tu gagnes, tu gagnes à tous les coups et que tu as tout. Soyez une fierté pour votre pays, votre continent, et pour le monde entier.

Cette dame Oprah Winfrey a réussi. Elle a décidé de ne plus jamais vivre dans la misère et elle ne vivra plus jamais cette misère. Cette dame est immensément riche au point où c’est elle qui paie la facture d’électricité de toutes les personnes de son quartier. Elle finance les autres. La pauvre d’hier est la riche d’aujourd’hui.

Oui ! Tu dois réussir dans ta vie pour être un exemple à suivre, un modèle pour plusieurs générations. Tu dois viser l’excellence.

En effet, être excellent, c’est faire tout ce qu’on fait le mieux possible. Quand tu veux faire quelque chose, fais-le bien et très bien.

Coach Patrick Armand POGNON ne s’amuse jamais quand il entreprend quelque chose. Tout doit tout fait correctement et très bien, avec excellence. C’est ça les enfants du coach. Ils font tout proprement. Ils font tout bien et très bien.

L’excellence n’est pas nécessairement la moyenne de classe. Quand je veux faire un discours, je me prépare et je le fais très bien. Quand je veux manger, je me prépare et je mange correctement. Si je veux faire quelque chose, je me prépare et je le fais très bien. Donc l’excellence est dans tout. Tout est entraînement et l’on s’entraîne pour tout réussir. Dans le monde, pour être cité comme une référence, tu dois tout faire pour être la tête du peloton. Il faut tout faire pour viser le sommet.

Dieu qui nous a créés à son image et à sa ressemblance. Il est excellent, donc il a fait de nous des excellents. Ce sont les erreurs qui font que nous ne sommes plus excellents et par conséquent, plus inoubliable. Être excellent nous rapporte d’être inoubliables. C’est-à-dire, on doit parler de toi tout le temps comme Nelson Mandela, comme Oprah Winfrey et Usain Bolt.

Tu dois arriver à cette réussite où le monde te salue à ton passage et te célèbre. Le plaisir qu’on ressent en ce moment est beaucoup plus important que les autres avantages, car la joie intérieure est la plus grande chose qu’on doit rechercher. Cette satisfaction interne, me donne de la santé, plus de bonheur, plus de joie, plus d’épanouissement, plus de sourire et tous les bons.

Fais en sorte que demain, tu ne regrettes pas de n’avoir pas fait ce qu’il faut aujourd’hui pour être le meilleur aujourd’hui et demain. Le monde a besoin de toi. Fais tout possible pour être dans le peloton de tête pour gagner à tout prix. Et surtout, finis très vite avec l’école pour que tes parents et tes enseignants cessent de te fatiguer.

L’HUMILITE REND INVULNERABLE

L’humilité est le fait de reconnaître que je suis grand et très grand et que les autres aussi sont grands et très grands. C’est le fait de reconnaître que je suis important et très important, je suis une merveilleuse créature de Dieu et aussi de reconnaître que les autres le sont également.

L’humilité qui consiste à se faire très petit, à déclarer qu’on a un petit diplôme, un petit poste, une petite entreprise, une modeste personne est une insulte à Dieu. Cette approche du mot humilité qui consiste   à dire : merci pour la considération à ma modeste personne, est une bêtise de la francophonie.

En effet, l’humilité en anglais c’est ‘’come down’’ qui signifie revenir sur terre. Est-ce que revenir sur terre veut dire diminuer ? La réponse est non ! Je suis humble, c’est dire que je reconnais la valeur des autres aussi. Exemple : je suis puissant, mon cousin est aussi puissant et nous allons conquérir ce monde.

L’humilité consiste à reconnaître sa propre valeur et à savoir immédiatement que les autres valent autant que moi. C’est-à-dire,    je reconnais que Dieu vit en moi. Comment Dieu peut-il vivre en quelque chose qui n’est pas important ? Donc je suis important et très important et la personne qui est en face de moi l’est également. Les enfants connaissent l’importance de tout le monde depuis le ventre  de leur maman, à la naissance, et en grandissant ; c’est pourquoi quiconque fait du mal à un enfant sera pris en charge par Dieu lui- même.

Mes chers trésors, le coaching intégral a permis aux adultes de voir, mais de vous enseigner que lorsqu’on prélève le sang d’un Européen et qu’un Africain a besoin du sang, s’ils sont du même groupe sanguin, on peut le lui injecter sans problème.

Et c’est de la même manière qu’on peut transfuser à un Européen     le sang d’un Africain s’ils sont du même groupe. Autrement dit, la couleur de la peau attribuée à quelqu’un par la température ne fait pas l’homme. L’être humain est ce qui est sous la couleur de la peau.

L’homme noir et l’homme blanc soi-disant, ont le même intérieur. Aussi, personne n’a la couleur noire ni la couleur blanche. Donc nous avons des personnes afros (teint foncé) et des personnes de teint clair. Mes champions, oubliez cette affaire de couleur de peaux,car personne au monde ne doit se sentir supérieur ou inférieur aux autres. Si vous dites que vous êtes inférieurs ou bien que vous êtes supérieurs aux autres, vous n’êtes plus dans l’humilité. Par conséquent, l’Européen est mon frère, l’Asiatique est mon frère, l’Américain est mon frère. Nous sommes tous dans la fraternité mondiale. Donc je suis important, l’autre est important et nous sommes tous importants. Malgré les nombreux avantages de l’humilité, en quoi rend-il invulnérable ?

Si vous chercher la définition de invulnérable vous verrez ne peut attient ne peut agresser, ça veut dire quoi si je sais que je suis important et que l’autre aussi est important la bêtise de l’autres ne peut pas m’atteinte l’autre ne peut pas me faire du mal parce que d’abord le fait que je reconnais sa valeur l’amène à ne pas avoir envie de me faire du mal il ne se sent pas en concurrence par rapport à moi

L’invulnérabilité, c’est quand on ne peut pas être atteint, quand on ne peut pas être blessé. Cela veut dire que si je suis important et l’autre aussi est important, la bêtise de l’autre ne peut pas m’atteindre ni me faire du mal, car le fait que je lui reconnais sa valeur l’amène à ne pas avoir envie de me nuire. Il ne se sent pas en concurrence par rapport à moi.

Dans les bureaux de la fonction publique, si chacun commençait par reconnaître l’importance de l’autre, il y aurait moins de concurrence. Donc si vous reconnaissez l’importance des autres, vous ne pouvez pas être atteints ou blessés par leurs comportements.

De même, si vous connaissez votre importance, vous n’allez pas interpréter le regard de l’autre. Comment pourrais-je me plaindre quand Dieu parle à Dieu devant Dieu ? Autrement dit, si je reconnais mon importance et celui des autres, il n’y en aura pas «on ne va pas me dire ça devant les autres», car entre personnes importantes, il n’y a pas de petits. Si vous traitez quelqu’un de petit à cause de vos diplômes, de votre poste, alors vous insultez Dieu. Soyons donc reconnaissants dans la gratitude.

En réalité, celui qui est humble se trouve dans une fréquence, dans une vibration où il n’y a pas le mal. Il est invulnérable.

EDUCATION FINANCIERE : LA MENTALITE DES RICHEUREUX

Nous voulons tous être riches et heureux, n’est-ce pas ? Pour autant, nous ne sommes pas tous égaux dans notre façon de gérer nos finances. En effet, on constate souvent qu’avec le même salaire untel saura être capable de devenir propriétaire d’une maison, de biens, de richesses, d’épargner pour les futures études de ses enfants (par exemple) et de s’enrichir tandis qu’une autre personne va enchaîner les fins de mois difficiles. La différence n’est alors pas au niveau du salaire mais de l’attitude de la personne face à l’argent.

Un ami au Mali m’a raconté qu’il y a trente ans de cela, il gagnait

25.000 F CFA par mois et économisait 5.000 F CFA chaque mois. Entretemps, il devient le cuisinier d’un européen à 350.000 FCFA  par mois et n’arrivait plus à économiser. L’éducation financière est véritablement utile.

Un jour, dans une salle de classe, un instituteur explique l’importance de l’arithmétique en demandant aux enfants combien on aura en 1 an si chaque jour, on met 25 francs de côté. Les enfants étaient incapables de déterminer et ont conclu que ça fait beaucoup d’argent. L’un d’entre eux a retenu que s’il épargne chaque jour, une partie de son argent de poche, il sera donc très riche à la fin de ses études. C’est ainsi qu’effectivement, il adopta la discipline de l’épargne depuis le primaire et devint immensément riche à la fin de ses études.

Des années plus tard, le professeur était invité à un mariage. Une fois sur place il était éblouis par l’allure des choses puis se rendit compte que le marié était son enlève d’autrefois. Il lui dit alors, apparemment tu gagnes beaucoup d’argent pour pouvoir organiser un tel mariage. Il répondit, non rappelez-vous du jour où vous nous avez enseigné l’arithmétique. Depuis, j’ai appris à économiser et aujourd’hui je peux me permettre de bien vivre sans compter sur mon salaire.

Lui il ne connaissait que l’épargne, nous on connaitra plus, en appliquant donc, on finira beaucoup plus riche que ce dernier.

Elena Shifrina est l’une des femmes les plus riches du monde. Elle raconte que lorsqu’elle avait 6 ans, sa grande mère lui enseigna l’épargne et l’investissement. En fait, sa grand-mère lui a appris déjà à l’Age de 6 ans à savoir utiliser son argent. Ainsi donc, Elena Shifrina a grandi avec l’art de la dépense utile. Elle déclare que les pauvres accumulent les achats alors qu’ils n’en ont même pas besoin. Elle dit n’acheter qu’un habit par mois puisqu’elle n’a pas fini de porter les anciens.

Ainsi donc, elle peut se permettre d’utiliser son argent de manière    à être aujourd’hui la femme riche et puissante dont tout le monde respecte la réussite.

Au-delà de cela, il est important que la notion de richesse ne soit pas dissociée de la notion de bonheur d’où le mot richeureux. Il y a de cela 40 ans, 9 personnes se sont retrouvées dans un hôtel aux Etats-Unis d’Amérique pour une réunion. Ces 9 personnes à elles toutes seules détenaient plus de richesses que les États-Unis d’Amérique. En des mots très clairs, eux 9 ensembles étaient plus riches que les États-Unis. 25 ans plus tard, environ 4 sont morts de suicide et les autres étaient en prison. Ça ce n’est pas être riche.

Voyons maintenant les différences qui existent entre la manière dont pensent les riches et celle dont les gens pauvres ou les gens de la classe moyenne envisagent les choses.

  1. Une personne lambda pense que l’ARGENT est la “racine du mal”. Une personne riche croit que la PAUVRETE est la “racine du mal”.
  2. Une personne lambda pense que “l’égoïsme” est un vice. Une personne riche pense que “l’égoïsme” est une vertu.
  3. Une personne lambda a une mentalité de loterie. Une personne riche a une mentalité d’action.
  4. La personne moyenne pense que le chemin vers la richesse passe forcément par les études (le système scolaire). Une personne riche croit en l’acquisition de savoirs spécifiques.
  5. Les personnes lambda sont nostalgiques et s’accrochent “au bon vieux temps”. Les gens riches rêvent du futur.
  6. La plupart des gens voient l’argent à travers leurs prières. Les personnes riches pensent à l’argent de manière plus logique.
  7. Le “commun des mortels” gagne de l’argent en faisant des choses qu’ils n’aiment pas. Les gens riches suivent leur(s) passion(s).
  8. Les personnes lambda ont de faibles attentes, comme ça elles ne sont jamais déçues.
  9. Une personne lambda pense que l’on doit FAIRE quelque chose pour devenir riche.Les gens riches croient que l’on doit ETRE quelqu’un pour devenir riche.
  10. Une personne lambda pense qu’il faut avoir de l’argent pour faire de l’argent. Une personne riche utilise l’argent des autres.
  11. Une personne lambda pense que les marchés sont dirigés par la logique et de manière stratégique. Les gens riches savent qu’ils sont dirigés par l’émotion et la cupidité.
  12. Les personnes de la classe moyenne vivent au-dessus de leurs moyens. Les riches vivent en-dessous des leurs.
  13. Les personnes lambda apprennent à leurs enfants comment survivre. Les personnes riches apprennent à leurs enfants comment s’enrichir.
  14. Les personnes de la classe moyenne laissent l’argent les stresser. Les riches sont rassurés par l’argent.
  15. La classe moyenne préfère se divertir plutôt que s’éduquer. Les riches préfèrent s’éduquer que se divertir.
  16. Les personnes lambda pensent que les riches sont des snobs. Les gens riches souhaitent juste s’entourer de personnes qui pensent comme eux.
  17. La classe moyenne se focusse sur l’épargne. Les riches se concentrent sur gagner de l’argent.
  18. La classe moyenne la joue sécurité avec l’argent. Les riches savent quand prendre des risques.
  19. Les gens de la classe moyenne aiment être dans leur zone de confort. Les riches trouvent du confort dans l’incertitude.
  20. Les gens de la classe moyenne pensent qu’ils doivent choisir entre avoir une famille heureuse et être riche. Les riches savent que l’on peut avoir les deux.

En plus de développer la mentalité des riches heureux, Il y a certaines règles que suivent les personnes qui sont riches et demeurent riches.

Il s’agit de la règle qui consiste à répartir tout argent qui passe dans notre main et qui nous appartient en 4 groupes, chacun pour son utilisation

Pour toute somme qui passe dans la main d’un riche, 20% est destiné à me faire plaisir 20% est destiné à faire un don, être généreux envers une personne à qui on a envie de faire plaisir 20% est destiné à être épargné, économisé pour investir plus tard Les 40% restants pour acheter des choses dont j’ai besoin.

De façon plus concrète, Pour chaque 1000 franc qui passe dans ma main, je dois prendre 200F pour me faire plaisir, 200 Franc pour donner à ceux à qui j’ai du plaisir à donner, je dois épargner 200F pour avoir un capital à investir et je peux dépenser 400 francs pour acheter des choses dont j’ai besoin. Si je ne fais pas ça, je ne peux pas être riche.

LE POUVOIR ILLIMITÉ DE LA VISION

Un jour, un papa dit à son enfant, si tu m’énerves, je vais te frapper jusqu’à mort. L’enfant retient que le jour où papa sera fâché, ce serait sa mort. Un autre jour, l’enfant fit une bêtise, et le papa dit ; Là, tu m’as vraiment énervé. Il s’arrête là et ne dit rien de plus. Mais l’enfant à entendu la suite, je vais te frapper jusqu’à mort.

Quelques minutes après, le papa s’habilla et demande à l’enfant de venir avec lui. Il emmena l’enfant au supermarché et lui demande d’acheter des chocolats, des biscuits, des bonbons. L’enfant prit les chocolats les plus amers, les bonbons désagréables au goût, des biscuits bizarres parce que convaincu que papa serait en train de déguster ça quand on serait en train de le frapper à mort.

Le papa paie la facture et emmena l’enfant au restaurant, lui demandant de commander un repas. L’enfant se dit, c’est le dernier repas avant la mort et ne mange presque rien car, son estomac était serré par la peur. Après le restaurant, le papa conduit la voiture jusqu’à la maison sans rien dire à l’enfant. Arrivé à la maison, il dit à l’enfant, ne fais plus de bêtises, quand tu fais des bêtises, je me sens mal, je me sens triste et Dieu aussi se sent triste car Dieu et moi nous t’aimons, tu es la plus belle manifestation de Dieu dans ma vie, les chocolats, les bonbons, et les biscuits sont pour toi. Bonne nuit à toi.

L’enfant rentre dans la chambre et se mit à pleurer, il pleure parce qu’il n’a jamais compris pourquoi papa à dit, si tu m’énerves, je vais te frapper jusqu’à mort et ne l’ayant pas compris, il a fait des bêtises, ne l’ayant pas compris, il a acheté des chocolats amers, il n’a pas profité du restaurant, lui qui aimait vraiment manger. Plus grave, cet enfant, aurait pu faire une bêtise plus grave dans la chambre pendant que son papa l’attendait.

Tout ceci est arrivé simplement parce que le papa parle sans dire pourquoi il parle. Il aurait suffi que ce papa dise à son enfant qu’il l’aime que toute cette histoire aurait été autre. Voilà l’importance    du pourquoi, voilà l’importance du pourquoi des choses. Voilà l’importance de la vision.

Il y a plusieurs définitions et conceptions de la vision, mais de façon très simple, la vision c’est le pourquoi des choses.

Nous allons à l’école sans savoir même pourquoi nous allons à l’école, quelle est la vision de l’école, quel est le pourquoi de la présence de l’enfant à l’école. Si nous savions pourquoi nous allons à l’école, ce serait plus agréable d’y aller. Le pourquoi des choses constitue une vision. La vision nous permet de traverser des moments difficiles.

Chaque fois que quelqu’un me propose quelque chose, il doit répondre à la question pourquoi. La réponse me permettra de voir si c’est bon pour moi. Le pourquoi des choses est un bouclier, une protection, une énergie.

Lorsque j’étais élève, j’étais dans la même classe avec des enfants  de ministres, d’Hommes d’affaires riches, ils avaient tendance à m’emmener à faire les mêmes choses qu’eux, à délaisser mes cahiers. A ne pas donner de l’importance à mes études, ils voulaient me faire faire des bêtises. Un jour, je me suis demandé pourquoi ils font ça ? Au fait, ils font ça parce qu’ils pensent que papa sera toujours là pour leur donner de l’argent, pour les protéger. Ils avaient tort car aujourd’hui papa n’est plus là, maman non plus. Ou ils n’ont plus d’argent et ces enfants souffrent.

Sachant qu’ils ont tort, j’ai refusé de les suivre dans leurs erreurs, car moi j’ai compris que même si mes parents ont de l’argent, ils ne seront pas toujours là.

Il me faut apprendre maintenant, pendant que je suis à l’école à réussir ma vie, à gagner ma vie, à me prendre en charge. Ma vision, mon rêve est d’être quelqu’un d’important demain, instruit, un exemple à suivre, un modèle, capable de se prendre en charge, et prendre en charge sa famille, alors, j’ai choisi de ne pas suivre ceux qui ont une autre vision, défaitiste, paresseuse, irresponsable.

Grâce donc à ma vision, au pourquoi des choses, je suis aujourd’hui, une réussite au plan mondial parce que j’ai suivi mon pourquoi parce que j’ai refusé de suivre le pourquoi des autres. Aujourd’hui, Lorsque je rencontre ces enfants de riches de l’époque, ils sont pauvres, ils ont échoué, et je leur donne un peu d’argent pour quelques jours sans savoir qui va leur en donner un peu après. Ils sont passés à côté de leurs visions, celles que Dieu leur a donné, de ce merveilleux plan de paix et de bonheur que Dieu a conçu pour eux et ils sont aujourd’hui un échec.

Veux-tu faire comme eux, ou veux-tu faire comme moi ? Il ne s’agit pas pour moi de te dire d’obéir aux parents, il s’agit pour moi de te demander quel est ta vision. Veux-tu réussir ou échouer ? Si tu veux réussir, alors, fais comme ceux qui réussissent.

Un jour, un camarade de classe m’a proposé de fumer une cigarette, je lui ai demandé pourquoi, il m’a répondu que les femmes t’aiment quand tu fumes. Mes chers enfants, si j’ai besoin de fumer pour qu’une femme m’aime, alors elle aime la cigarette, le fumeur de cigarette, pas moi.

J’ai refusé et je n’ai jamais fumé, résultat, mes poumons sont propres, purs et me donnent une longue vie. Qui es-tu ? Un fumeur ou un exemple à suivre ? Qui es-tu ? Un échec ou une réussite ? Qui es-tu mon beau trésor, Qui es-tu vraiment ?

LES VALEURS ET LA RÉUSSITE DE VIE

La valeur est définie comme ce par quoi quelqu’un est digne d’estime sur le plan moral. La valeur ou les valeurs sont des qualités sans lesquelles on ne peut rien réussir. Je voudrais vous dire ça de la manière la plus simple, on ne peut pas construire son bonheur sur le malheur des autres, on ne peut pas construire sa fortune en détruisant un être humain.

La valeur est donc la qualité sans laquelle on ne peut avoir la protection et la bénédiction de Dieu, c’est se dire qu’il y a Dieu en nous et donc si je fais du mal à une personne, je fais du mal à Dieu.

Souvent, on se demande quelles sont les valeurs et une liste des valeurs. Ainsi donc, les parents nous diront qu’on ne doit pas faire ceci ou cela, nous interdisant tout. Or, confondre les valeurs et une liste d’interdits est une erreur. En fait, la valeur est un élément d’appréciation. Vivre dans les valeurs, avec les valeurs, sur la base des valeurs, c’est de demander en permanence, est ce que ce que je veux faire est bon, utile, et positif. Quelqu’un va t’il souffrir à cause de ce que je fais, est ce que quelqu’un va être attristé par ce que je fais.

C’est un piège sans fin de vouloir lister les valeurs et donc les interdits. Un jour, des singes ont vu des bananes alignées. Ils voulaient bondir pour les cueillir et les manger, les parents leur ont dit que c’est interdit à cause du fait qu’il y a un système de jet qui se déclenche lorsqu’on s’approche des bananes et qui envoie fortement de l’eau qui risque de tuer les singes qui veulent prendre les bananes. Les parents ont fait l’erreur de leur dire que c’est interdit au lieu de leur expliquer que c’est à cause du système de jet d’eau. De génération en génération, chacun a répété à son enfant que c’est interdit alors que le système de jet d’eau est déjà gâté depuis des années. A force de dire que c’est interdit sans expliquer pourquoi, l’enfant n’a pas été responsabilisé à faire de bons choix.

Un jour, un enfant voulait sortir avec un amie et sa mémé lui dit si    il tente de te toucher, de t’embrasser, tu lui dis don’t. S’il tente une deuxième fois, tu lui dis stop. Au retour de la sortie, la grande mère demande à sa petite fille si son ami l’a embrassé, elle répond oui. La grand-mère lui demande pourquoi elle n’a pas appliqué ses conseils. La fille de répondre : Il a tenté simultanément de m’embrasser deux fois, j’ai donc dit les deux ensemble, j’ai dit don‘t stop. Si la mamie avait expliqué les choses à sa fille, elle aurait fait un bon choix.

Mes chers enfants, la vie vous offre deux possibilités, réussir à tout point de vue en accord avec Dieu ou choisir de faire les choses sans plaire à Dieu et prendre le risque que Dieu nous abandonne.

Alors faisons très attention pas à la liste des valeurs, mais à la valeur cardinale. Est-ce que Dieu est d’accord avec ce que je viens de faire? Est-ce que cela ne va pas avoir des conséquences?

Un jour sur une radio du Bénin on a demandé à une grande sorcière pourquoi le coach Patrick Armand POGNON vous défie et vous n’arrivez pas à lui faire du mal?

Et elle répond : On ne peut rien contre une personne qui est positive et bonne. Autrement dit, une personne qui a des valeurs.

L’Histoire d’ELMER

Il était une fois un troupeau d’éléphants. De jeunes éléphants, de vieux éléphants, de grands éléphants, des gros et des minces. Des éléphants comme ci, des éléphants comme ça ou autrement, tous différents mais tous heureux et tous de la même couleur. Tous… sauf Elmer.

Elmer était différent. Elmer était bariolé. Elmer était jaune et orange et rouge et rose et violet et bleu et vert et noir et blanc.

Elmer n’était pas de la couleur des éléphants.

C’est Elmer qui rendait les éléphants heureux. Tantôt il plaisantait avec les autres éléphants, tantôt les autres éléphants plaisantaient avec lui. Mais c’est toujours Elmer qui amenait le rire.

Une nuit, Elmer n’arriva pas à trouver le sommeil ; il se disait qu’il en avait assez d’être différent. « Qui a jamais entendu parler d’un éléphant bariolé ? pensait-il. Pas étonnant qu’ils se moquent de moi. » Au matin, avant que les autres se réveillent tout à fait, Elmer s’esquiva doucement. Son départ passa inaperçu.  Tandis qu’il traversait la jungle, Elmer rencontra d’autres animaux. Ils lui dirent tous : « Bonjour, Elmer. » À chacun d’eux, Elmer sourit et répondit : « Bonjour. »

Après une longue marche, Elmer trouva ce qu’il cherchait – un arbrisseau buissonnant. Un arbrisseau couvert de baies, de la couleur des éléphants. Elmer attrapa l’arbrisseau et le secoua tant et si bien que les baies tombèrent sur le sol.

Une fois que le sol fut tapissé de baies, Elmer s’allongea et roula sur lui-même plusieurs fois d’un côté et de l’autre puis d’avant en arrière. Ensuite il ramassa des grappes de baies et s’en frictionna le corps jusqu’à ce que le jus des baies le recouvre entièrement et qu’il n’y ait plus la moindre trace de jaune ou d’orange ou de rouge ou de rose ou de violet ou de bleu ou de vert ou de noir ou de blanc. Une fois son travail achevé, Elmer ressemblait à n’importe quel autre éléphant.

Ensuite Elmer s’en retourna vers le troupeau. En chemin il repassa devant les autres animaux. Cette fois ils lui dirent tous : « Bonjour, éléphant ». Et à chacun d’eux Elmer sourit et répondit : « Bonjour», heureux de ne pas être reconnu. Quand Elmer retrouva les autres éléphants, ils étaient tous immobiles et silencieux. Aucun ne remarqua Elmer tandis qu’il se sait au milieu du troupeau.

Au bout d’un moment, Elmer sentit que quelque chose clochait, mais quoi ? Il regarda autour de lui : la même jungle habituelle, les mêmes nuages chargés de pluie qui traversaient le ciel de temps à autre et enfin les mêmes éléphants. Elmer les regarda.

Les éléphants étaient comme soudés au sol. Elmer ne les avait jamais vus si sérieux. Et plus il regardait ces éléphants silencieux, sérieux, solennels et comme soudés au sol, plus il avait envie de rire. Au bout d’un moment, ce fut plus fort que lui, il leva sa trompe et il hurla à tue-tête BOOO

Les éléphants furent si surpris qu’ils firent des bonds dans tous les sens.

« Nom d’une pipe ! » s’exclamèrent-ils ; puis ils virent Elmer qui n’en pouvait plus de rire. « Elmer, dirent-ils, Ce doit être Elmer ». Alors les éléphants se mirent à rire comme jamais ils n’avaient ri auparavant.

Tandis qu’ils riaient, un nuage creva, et au contact de la pluie, Elmer redevint bariolé. Les éléphants riaient encore quand Elmer retrouva toutes ses couleurs habituelles. « Oh, Elmer, dit un vieil éléphant, tu nous as déjà fait de bonnes plaisanteries, mais jamais nous n’avions ri comme aujourd’hui. Tu t’es vite démasqué. – Nous devons célébrer ce jour chaque année, dit un éléphant. Ce sera le jour d’Elmer. Tous les éléphants se décoreront et Elmer se peindra de la couleur des éléphants.

» Ainsi font les éléphants. Un jour par an ils se décorent et ils pavanent. Si ce jour-là vous rencontrez un éléphant de la couleur habituelle des éléphants, vous saurez que c’est Elmer, sans aucun doute.

Mes chers enfants, combien ne sommes-nous pas à vouloir ressembler aux autres, à nos camarades, à vouloir faire comme eux au lieu d’être simplement nous.

L’HISTOIRE DE NELSON MANDELA

Nelson MANDELA l’ancien président de l’Afrique du Sud, un homme extraordinaire qui est célébré comme une réussite mondiale allait dire, qui je suis fait toute la différence. Ne ressemblons pas aux autres, soyons-nous car notre histoire est différente.

Un jour, Nelson MANDELA, alors président de l’Afrique du Sud, décide d’aller partager un repas dans un restaurant avec ses gardes du corps. Arrivé sur place, il vit un homme à une table en train de manger et demande à ses gardes du corps d’aller l’inviter à partager son repas. L’intéressé vint s’asseoir à côté de Nelson MANDELA, remarque qu’il s’agit de lui et se mit à trembler.

Les gardes du corps, pensant qu’il était malade et contagieux, proposent au président de le retirer de là. Le président insiste et partage son repas avec lui.

Après son départ, les gardes du corps demandent au président, comment est-il possible qu’il laisse un malade contagieux partager son repas. Il leur répondit que le monsieur n’était pas malade. Il s’agissait de celui qui le surveillait en prison, que lorsqu’il lui demandait de l’eau à boire, il urinait sur sa tête et c’est donc par peur d’être sanctionné qu’il grelotait.

Les gardes du corps lui demandent alors pourquoi il ne leur a pas ordonné de l’arrêter afin qu’il soit jugé et mis à son tour en prison.

Nelson MANDELA leur  répondit  :  lorsqu’il  était  le  surveillant  en prison, il avait un pouvoir qu’il a utilisé pour me faire du mal. Aujourd’hui, j’ai le pouvoir de lui faire du mal.

Si je l’utilise, pour lui faire du mal, je lui donne l’opportunité lorsqu’il retrouvera un pouvoir de l’utiliser encore pour me faire du mal. En décidant de lui faire du bien, je lui arrache à jamais l’opportunité de me faire du mal même s’il retrouve le pouvoir.

CHANCE OU MALCHANCE ? QUI PEUT LE DIRE

L’histoire suivante illustre bien notre rapport que nous avons sur les événements de la vie. Dans notre vision limitée de la réalité nous interprétons souvent les événements de l’existence en exprimant les termes suivant : « la chance… oh pas de chance… » Ou encore « c’était le hasard, une coïncidence, un accident (…) » en réalité notre perception que nous avons sur ce qui est réellement commis par ce qui est interprété ou pensé diffère beaucoup car nous avons tendance à émettre un jugement personnel sur ce qui est arrivé en la définissant de « bien » ou de « mal » suivi d’une émotion éprouvée positif ou négatif comme la colère, le déni ou encore la joie l’assurance etc. Cela nous sert à nous rappeler qu’en réalité nous n’avons pas le contrôle sur ce qui nous arrive ! « Avoir le contrôle n’est qu’une illusion » :

« Il était une fois, dans un village, un homme très pauvre qui avait un très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du château voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.

– “Pour moi ce cheval n’est pas un animal, c’est un ami. Comment voulez-vous vendre un ami ?” demandait-il.

Un matin, il se rend à l’étable et le cheval n’est plus là. Tous les villageois lui disent : “On te l’avait bien dit ! Tu aurais mieux fait de le vendre. Maintenant, on te l’a volé… quel malchance !”. Le vieil homme répond : “Chance, malchance, qui peut le dire ?”.

Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval revient, avec toute une horde de chevaux sauvages. Il s’était échappé, avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde. – “Quelle chance !” disent les villageois.

Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe à l’entraînement. – “Quelle malchance !” disent ses amis.

  • “Comment vas-tu faire, toi qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut plus t’aider !”.

Le vieil homme répond “Chance, malchance, qui peut le dire ?”.

Quelques temps plus tard, l’armée du seigneur du pays arrive dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles. Tous… sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.

  • “Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis à la guerre, et toi tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se faire tuer…”. Le vieil homme répond “Chance, malchance, qui peut le dire? “.

Le futur nous est livré par fragments. Nous ne savons jamais ce qu’il nous réserve. Ce qui apparait comme une malchance aujourd’hui peut devenir une chance demain. Les épreuves peuvent cacher des leçons précieuses de la vie, qui nous serviront plus tard. L’important c’est de continuer à avancer en ayant des pensées positives et avoir la bonne attitude.

DIEU EST BON ET NE FAIS JAMAIS D’ERREUR

Le roi d’une tribu africaine fut un jour attaqué par un tigre et n’eut  la vie sauve que grâce à l’intervention d’un de ses esclaves ; il perdit cependant un doigt dans l’affaire.

Très en colère, il s’écria : Si Dieu était bon, je n’aurais pas perdu un doigt. – L’esclave, un chrétien, lui répondit : Majesté, Dieu est bon, et ce qu’il fait est sage. Il ne fait jamais d’erreur. – A ces mots, pris de rage, le souverain fit emprisonner celui qui lui avait pourtant sauvé la vie.

Quelque temps plus tard, le roi fut fait prisonnier par des guerriers qui avaient l’habitude d’offrir des sacrifices humains à leurs idoles. On allait lui faire subir le même sort, mais ses ennemis remarquèrent qu’il lui manquait un doigt ; ils le relâchèrent alors aussitôt, car il n’était pas permis de sacrifier une victime ayant un défaut corporel.

Rentré chez lui, le roi fit libérer l’esclave emprisonné, et lui dit avec bienveillance :

  • Dieu a vraiment été bon pour moi. J’aurais été tué. C’est seulement parce qu’il me manquait un doigt qu’ils m’ont laissé aller. Mais je me demande pourquoi Dieu a permis que je te mette en prison.
  • Majesté, répondit l’esclave, si je n’avais pas été en prison, j’aurais été capturé avec vous et sacrifié à votre place car moi, j’ai tous mes doigts.

Il nous arrive souvent de ne pas comprendre les intentions de Dieu dans les situations que nous vivons. Mais gardons toujours la certitude que « toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu »

« CANARD OU AIGLE ? C’est à vous de vous décider!

J’étais à l’aéroport lorsqu’un chauffeur de taxi s’est approché de moi. La première chose que j’ai remarquée dans le taxi était cette phrase : _Canard ou Aigle ? Tu as le choix._

La deuxième chose que j’ai remarquée était un taxi propre et bien entretenu, le chauffeur bien habillé, chemise blanche et pantalon bien repassé, avec une cravate. Le chauffeur de taxi est sorti, m’a ouvert la porte et m’a dit : «Je suis Jean, votre chauffeur. Pendant que je range vos bagages, j’aimerais que vous lisiez sur cette carte quelle est ma mission.» Sur la carte était écrite : La mission de Jean : Amener mes clients à destination rapidement, en toute sécurité et économiquement, tout en offrant un environnement convivial.

J’ai été impressionné. L’intérieur de la cabine était tout aussi propre. Jean m’a demandé : «Aimeriez-vous du café?», En plaisantant avec lui, j’ai dit : «Non, je préfère avoir un jus. Il répondit aussitôt : «Aucun problème. J’ai un thermos avec du jus ordinaire et aussi du jus diététique, ainsi que de l’eau», m’a-t-il également dit : «Si vous voulez lire, j’ai le journal d’aujourd’hui et aussi quelques magazines.»

Au début de la course, Jean m’a dit : «Ce sont les stations de radio que j’ai et c’est le répertoire qu’elles jouent.»

Comme si cela ne suffisait pas, Jean m’a même demandé si la température de la climatisation me convenait. Puis il m’a dit quel était le meilleur itinéraire vers ma destination et si je voulais lui parler ou si je préférais ne pas être dérangé!

Je lui ai demandé: « Est-ce que vous servez toujours vos clients comme ça ? » «Non,» répondit-il. «Pas toujours. Seulement ces deux dernières années. Mes premières années en tant que chauffeur de taxi, j’ai passé la plupart de mon temps à me plaindre comme les autres chauffeurs de taxi.

Un jour, j’ai écouté un médecin spécialiste du développement personnel.  Il a écrit un livre intitulé : Qui tu es fait la différence ! Il a dit : Si vous vous levez le matin en espérant passer une mauvaise journée, vous le ferez certainement.

Ne soyez pas un CANARD ! Soyez un aigle ! Les canards font du bruit et se plaignent, les aigles planent au-dessus de la mêlée. J’étais tout le temps à faire du bruit et à me plaindre. J’ai donc décidé de changer d’attitude et d’être un aigle. J’ai regardé les autres taxis et chauffeurs. Les taxis sont sales, les chauffeurs antipathiques et les clients insatisfaits. J’ai décidé de faire quelques changements.  Comme mes clients y   ont bien réagi, j’ai apporté quelques modifications supplémentaires. Lors de ma première année en tant qu’aigle, j’ai doublé mon chiffre d’affaires.

Cette année, je l’ai déjà quadruplé. Tu as de la chance d’avoir pris mon taxi aujourd’hui. Je ne suis plus au niveau de taxi. Mes clients réservent via mon téléphone portable ou m’envoient un message. Si je ne peux pas aller les chercher, je demande à un ami chauffeur de taxi

«Aigle» de confiance de faire le travail.»

Jean était différent. Il a offert un service de limousine dans un taxi ordinaire. Jean, le chauffeur de taxi, a décidé d’arrêter de faire du bruit et de se plaindre comme le font les canards et a commencé à survoler le groupe comme le font les aigles.

Peu importe que vous travailliez dans un bureau, que vous soyiez maintenancier, enseignant, fonctionnaire, politicien, cadre, employé, pigiste ou chauffeur de taxi !

Comment vous comportez-vous ? Êtes-vous déterminé à faire du bruit et à vous plaindre? Ou vous élevez-vous au-dessus des autres ?

ŒUF CAROTTES OU GRAIN DE CAFE

Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu’elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu’aussitôt qu’un problème est réglé, un autre apparaît.

Sa mère l’amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d’eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l’eau commence à bouillir.

Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des œufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les œufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.

Se tournant vers sa fille, elle dit : « Dis-moi, que vois-tu? » « Des carottes, des œufs et du café », répondit sa fille.

La femme l’amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu’elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un œuf et de le briser. La fille enleva la coquille d’un œuf et observa qu’il était cuit dur.

Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

La fille demanda alors, « Qu’est-ce que ça veut dire maman? »

Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagi différemment.

La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l’eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.

L’œuf était fragile avec l’intérieur fluide. Mais après être passé dans l’eau bouillante, son intérieur est devenu dur.

Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l’eau bouillante, ils ont changé l’eau.

« Lequel es-tu? », demanda la mère à sa fille. « Lorsque l’adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café? »

Penses-y.

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l’adversité devient molle et perd sa force?

Suis-je un œuf qui commence avec un cœur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur ? Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur ?

Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l’eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l’eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleur et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.

Comment faites-vous face à l’adversité? Comme une carotte, un œuf ou un grain de café?

DIEU LE TOUT-PUISSANT EST INDIVIDUALISE EN MOI

Dieu est le commandant en chef de ce monde. Il est le plus fort, le haut gradé. Il est celui face à qui personne ne peut te nuire, quelle que soit la force de cette personne. C’est Dieu qui choisit les plus grands chefs que tu connais. C’est de Dieu que découle tout pouvoir. Quand Dieu ferme une porte, personne ne peut l’ouvrir et quand il ouvre une porte personne ne peut la fermer.

J’ai vu sa puissance dans beaucoup de domaines de ma vie et celle des autres aussi. C’est grâce à la puissance de Dieu que je défie la maladie. J’ai vu la manifestation de Dieu et ses œuvres dans ma vie en matière d’argent, de santé et de réussite. C’est grâce à Dieu que je suis en bonne santé, riche et heureux.

J’ai une bonne nouvelle pour vous, mes chers enfants. Le Dieu tout- puissant dont j’ai parlé plus haut celui-là avec qui je défie la mort et la maladie et grâce à qui je réussis tout est en chacun de vous.

Oui, Dieu est individualisé en toi.

Ce que je dis est que partout où tu es, Dieu est en toi entièrement     et totalement. Le patron des patrons, le plus fort est en toi quand tu marches, quand tu t’amuses, même quand tu es en classe.

Cela veut dire que Dieu voit tout ce que tu fais, car il est partout en toi. Mais cela veut dire aussi que tu ne dois pas avoir peur, car Dieu le Tout-Puissant est en toi. Puisque Dieu est tout puissant et qu’il est en toi, tu es également puissant. Alors, agis comme quelqu’un de puissant. Devant les épreuves en classe, devant tes camarades n’oublie pas que tu es puissant et que rien ne doit te faire peur. Rien sur terre ni au ciel ne peut te nuire, car Dieu est en toi. Respecte aussi les autres, car Dieu est en toi, et il est aussi en ton camarade, ton maître, ta maman, ton papa, tes frères et sœurs.

Dieu est individualisé en toi. Agis donc comme Dieu qui est tout puissant et qui a tout à sa disposition.

LA PAROLE TRANSFORMATRICE

La parole transformatrice c’est la parole qui sort de la bouche d’une personne et produit ce pour quoi elle est sortie. Si tu dis je suis le meilleur tout le temps tu seras le meilleur, si tu dis je suis la réussite tout le temps tu vas réussir.

Vous voyez votre grande sœur Coralie, un jour elle était en cinquièmes et sa maman disait qu’elle n’avait pas d’argent. Elle est allée voir sa mère, pour lui dire ceci : «Maman, pourquoi tu ne fais que dire ça ? Papa t’avait dit de ne pas dire que tu n’as plus d’argent non ? Et que si tu dis que tu n’as plus d’argent tu n’auras pas d’argent. Bon comme tu ne veux pas programmer moi je vais faire ça à ta place, je vais programmer et tu vas avoir l’argent». La journée ne s’est même pas terminée et la maman de Coralie a eu l’argent, car Coralie a programmé.

Encore un autre exemple. J’avais coaché des enfants à Cotonou dans un Camp scout. Les enfants étaient à la maison et papa est rentré avec une mine bizarre. Il dit : «les enfants, j’ai été renvoyé donc vraiment je ne sais pas comment on va faire, je n’ai plus d’emploi». Et les enfants se lèvent le matin. Ils sont allés voir leur papa et lui ont dit : «papa nous ne sommes pas des enfants du coach POGNON par hasard. Quand on va aller à l’école à la récréation on va programmer pour toi, à midi, on va programmer pour toi et avant qu’on arrive à la maison, on va programmer pour toi. Ainsi avant notre retour à la maison on va te rappeler au service». Ainsi les enfants sont allés à l’école, le papa a été rappelé au service. Oui c’est ça ! Aider vos parents parce que vous n’êtes pas enfants du coach POGNON pour rien.

Vous devez donc les aider avec votre énergie, votre joie, votre assurance, votre confiance. À chaque fois, quand le maître veut vous embêter dites-lui : «je suis un enfant du coach POGNON».

Tu dois répéter tout le temps, je suis le meilleur, je suis le succès, je suis le vainqueur parce que ce que tu dis, tu l’es. La parole qui sort de ta bouche ne retournera pas à Dieu sans produire ce pour quoi elle est sortie et proclamée.

Chers enfants, vous devez dire tous les jours, je suis la santé, je suis le bonheur, je suis la réussite. En disant ça, vous vivez longtemps, vous vivez en bonne santé et vous vivrez riche. Et quand vous ne dites rien, vous vivez les conséquences (maladie, malheur, etc.). Alors, chaque jour ne manquez pas de dire de bonnes choses sur vous-même, en allant à l’école, soyez en train de dire des paroles positives sur votre vie, à la maison dites de bonnes choses sur vous-même et vous aurez tout dans la vie

Programmez tout le temps et vous gagnerez tout. Ne laissez personne vous dire que vous ne réussirez pas, que vous n’êtes pas né pour gagner, croyez-en vous-même et vous y arriverez. C’est comme ça que moi j’ai fait pour réussir et c’est ce que je veux que tu fasses. C’est simple mon précieux. Dis de belles choses sur toi en tout le temps.

HENRY GIESSENBIER ET LE CITOYEN ACTIF

Henry GIESSENBIER était connu pour son caractère persévérant.   Il était animé par le désir de conquérir l’impossible. La poursuite du succès de GIESSENBIER n’était cependant pas entachée d’égoïsme. Elle a été renforcée par sa détermination à servir les autres et sa communauté.

Le désir de GIESSENBIER de servir les autres a commencé comme un rêve. Il envisageait que de jeunes hommes participent aux affaires civiques de leurs communautés pour aider et bénéficier aux personnes de tous âges. Cette vision a finalement donné naissance à l’une des organisations les plus fortes au monde.

Bien que distingué par sa force et son caractère, ce que l’on sait de l’enfance de Henry, c’est qu’il est né le 26 juin 1892 et a été élevé à Saint-Louis, dans le Missouri. Henry était l’un des six enfants de la famille GIESSENBIER. Son père était un immigrant allemand sévère, mais gentil. Sa mère était très respectée pour sa nature douce et bienveillante.

La famille GIESSENBIER était typique de la plupart des familles à revenu moyen de Saint-Louis au début des années 1900. Bien qu’ils n’aient jamais été pauvres, Henry a commencé à travailler à un âge précoce. Il n’a jamais terminé ses études secondaires, et on ne sait pas jusqu’où son éducation a progressé.

En 1909, GIESSENBIER entre dans le domaine de la banque, qui deviendra finalement la vocation de sa vie. Ses premières années dans le secteur bancaire ont été consacrées à une étude intense de la profession. Il restait souvent à la banque jusqu’au petit matin pour étudier la comptabilité et d’autres sujets.

Le dévouement du fondateur des JCI à servir les autres ne se limitait pas à l’organisation.

Le patriotisme de Henry l’a amené à servir deux ans dans l’armée pendant la 1ère guerre mondiale. Dans une lettre envoyée à la maison, le jeune sergent décrit les conditions de guerre. À un moment donné, Henry a décrit avoir croisé un camarade qui se cachait dans un trou d’obus lors de tirs d’artillerie intenses. L’autre homme a exhorté GIESSENBIER à se mettre à l’abri aussi, mais comme Henry l’a raconté,

« quelque chose m’a poussé ». Quelques instants plus tard, ce trou d’obus a reçu un autre coup direct. La persévérance de GIESSENBIER lui avait sauvé la vie.

Après son passage dans l’armée, Henry a pleinement repris son implication dans la Jeune Chambre. À l’été 1920, lors de la première convention nationale, l’organisation est officiellement devenue la Jeune Chambre de commerce des États-Unis. GIESSENBIER a été élu premier président. Sa vision pour la JCI a été exprimée lorsqu’il a dit: « […] Permettez-moi de dire que c’est entre vos mains que réside le destin d’une grande organisation. Construisons-la à la reconnaissance nationale. Organisons-la dans l’intérêt des jeunes gens pour une plus grande Amérique. »

Le succès de GIESSENBIER ne se limitait pas aux activités parascolaires. Il devenait également un banquier de premier plan. (Un événement rare pour les jeunes hommes à cette époque de l’histoire.)

Malgré la bonne fortune dans sa carrière et ses activités, il continuait d’aider les gens. Certains ont attribué la disposition de Henry à ses convictions religieuses. Sa femme, qu’il avait rencontrée pendant la première guerre mondiale et épousée en 1922, a un jour décrit GIESSENBIER comme un homme qui lisait quotidiennement la Bible. Et comme Henry l’a dit à sa femme à une occasion: « Ne pas le faire serait comme aller au combat sans mon armure. »

La nature forte et douce de Henry a impressionné tous ceux qui l’ont rencontré. George Wilson, l’adversaire politique victorieux de Henry à l’élection présidentielle de l’USJCC de 1921, a dit de lui « […] vos qualités exceptionnelles vous placent en tête partout où vous allez.»

Henry GIESSENBIER avait toujours été en proie à des problèmes de santé et, en 1930, ils commencèrent à faire des ravages. Même après plusieurs opérations, Henry continua son style de vie vigoureux jusqu’à ce que la catastrophe frappe en 1933. GIESSENBIER a été accusé de mauvaise gestion de fonds et de transactions illégales à la banque.

Pour un homme dévoué au service public, l’événement a été dévastateur à la fois mentalement et physiquement. L’affaire a été abandonnée après qu’il a été démontré que les pertes résultaient de  la dépression. Mais même si Henry a été acquitté et s’est remis de sa panne, l’événement a assombri sa vie comme un nuage sombre.

Moins d’un an après l’audience, Henry GIESSENBIER est décédé de complications rénales. C’était le 7 novembre 1935. John Armbruster, un autre membre pionnier de la JCI, a fait l’éloge d’Henry : « Il connaissait la gloire et il connaissait l’adversité, mais il les traitait tous les deux de la même manière. Il n’a pas été gâté par la gloire ni aigri par l’adversité. Sa vie était une vie qui ne connaissait aucun ressentiment, bien qu’il ait été persécuté bien au-delà de tout. . . »

Comme Henry, beaucoup d’Hommes ont eu une vision mais n’ont pas su l’accomplir parce qu’il leur manquait d’autres ingrédients à la vie, d’autres ingrédients à la vraie vie. Coaching et santé totale a manqué à Henry GIESSEMBIER pour vivre en bonne santé et longtemps. Grâce à une formation plurielle et pluridimensionnelle, nous pouvons réussir au delà de lui.

Seulement bien qu’ayant souffert de dépression, de maladie, ayant perdu la présidence de l’organisation qu’il a fondée, GIESSEMBIER à donner naissance à une vision reçue de Dieu pour l’humanité.

J’ai tendance à croire que les difficultés de Henry GIESSEMBIER découlent de la vision première qu’il a attribué à l’organisation, je paraphrase : j’ai foi qu’un jour, du plus profond de cette organisation sortira un homme qui établira une paix permanente et définitive Comme  vous  le  constatez,  il  a  dit  que  quelqu’un  sortira  un  jour de l’organisation pour accomplir la vision. Il s’est retiré de l’accomplissement de la vision et peut donc mourir puisqu’elle n’a pas besoin de lui. Faisons attention à ce que nous professons. Comme je l’ai dit plus haut, GIESSEMBIER est la jeune chambre puisque c’est l’œuvre de sa vie, c’est sa vision décliné en action. Voyons donc ce que GIESSEMBIER a créé.

La Jeune Chambre Internationale (JCI) est une fédération mondiale de 200 000 jeunes professionnels et entrepreneurs, âgés de 18 à 40 ans, répartis en près de 5 000 communautés dans plus de 100 pays à travers le monde.

Visant à être le principal réseau mondial de jeunes citoyens actifs, la JCI se donne pour mission d’offrir les opportunités de développement nécessaires aux jeunes afin de leur donner la capacité de créer des

«changements positifs». Chose que les membres de la JCI n’ont pas manqué de faire. Partout dans le monde, ils sont actifs, dynamiques, influents et occupent, généralement, des postes importants dans leurs sociétés respectives.

Par ailleurs, l’exécution des programmes pour le «changement positif» et l’organisation des manifestations font également partie des activités de la JCI.

La mission de la JCI est d’Offrir des opportunités de développement aux jeunes en leur donnant la capacité de créer des changements positifs.

La vision : Être le principal réseau mondial de jeunes citoyens actifs.

Le credo :

Nous croyons,

•Que la foi en Dieu donne à la vie son véritable sens ;

•Que la fraternité humaine transcende la souveraineté des nations ;

•Que la liberté des individus et de l’entreprise assure mieux la justice économique ;

•Que l’autorité doit s’appuyer sur la loi et non sur l’arbitraire ;

•Que la personne humaine est la plus précieuse des richesses ;

•Et que servir l’humanité constitue l’œuvre la plus noble d’une vie.

La citoyenneté active ou la citoyenneté engagée fait référence à la participation active d’un citoyen dans la politique et la société suivant la loi d’une nation et ceci à travers la communication, le dialogue et la formation. Aussi, elle préconise que les individus, les organisations caritatives et les entreprises jouent certains rôles et responsabilités envers la société et l’environnement.

En plus de tout ceci, il faut retenir essentiellement chers amis que:

Le bon citoyen :

–Aime son pays ou sa ville, prend soin de ses biens publics ;

–Est gentil envers ses voisins, et respecte les lois de l’État ;

–Donne son opinion au dirigeant pour qu’il puisse prendre des décisions d’intérêt général ;

–Fait confiance à ses dirigeants et contribue au développement de sa communauté ;

–Fait sa petite part pour faire un grand changement ;

–Ne laisse pas les déchets par terre ;

–Respecte les droits des autres citoyens ;

–Travaille fort et respecte les autres, leurs opinions, leur religion ;

–Est honnête, intègre et respecte la différence des autres

–Aide les autres en besoin ;

Enfin, être un citoyen actif ou tout simplement un bon citoyen, c’est prendre l’initiative de s’améliorer, d’autonomiser ceux qui m’entourent et de s’équiper des outils nécessaires pour créer des changements positifs dans sa communauté et dans le monde. Être citoyen actif, c’est développer sa capacité à travailler en équipe à la réalisation d’objectifs communs. C’est créer et nourrir en soi le sens de la responsabilité sociale, le patriotisme, l’intérêt général et l’initiative d’agir en faveur de la société. Il suffit d’un citoyen actif pour changer le monde. Alors, soyez ce citoyen actif aujourd’hui ! Soyez meilleurs ! Be Better ! Car n’oubliez jamais que vos excellentes qualités vous placent en tête où que vous alliez.

L’INCONTOURNABLE AMOUR DES AUTRES

L’amour est un don de Soi, C’est un sentiment qui dépasse tout entendement, puisqu’il découle d’un instinct naturel qui nous pousse à accorder à quelqu’un ce que nous avons de plus cher. La plus grande manifestation de l’amour vient de Dieu qui nous aime sans raison et sans condition.

Mes chers enfants, imaginez la fragilité d’un bébé mais Dieu le protège, veille sur lui et lui donne des parents, la nourriture, Dieu lui donne des jouets, Dieu lui donne des amis, Dieu lui donne tout, Dieu lui donne son amour infini. Malgré nos erreurs, malgré nos caprices, malgré nos bêtises, Dieu ne cesse de nous aimer.

Ensuite, nos parents, qui s’empêchent de dormir pour veiller sur nous, qui travaillent jour et nuit sans repos pour pourvoir à nos besoins.  Un jour, un enfant dit à ses parents que lui aussi veut être parent un peu car, pour lui, être parent est plus facile qu’être enfant. Ses parents acceptent et lui donnent pour 24h le droit d’être parent et eux les enfants ;

A 4h du matin, les parents devenus enfants viennent réveiller l’enfant devenu parent pour lui rappeler qu’en tant que parent il doit balayer, laver les plats, préparer le petit déjeuner, les laver, laver son petit frère. Il fit tout ça et au moment de prendre le petit déjeuner, les parents devenus enfants lui rappellent qu’ils n’ont jamais pris petit déjeuner au même moment que lui.

L’enfant devenu parent laisse donc ses parents devenus enfants prendre leur petit déjeuner en mangeant presque tout. A leur suite, l’enfant voulait manger le reste quand son petit frère à fait caca dans sa couche. Les parents l’invitent alors à aller changer la couche de l’enfant et voici que l’enfant devenu parent déclare qu’il démissionne, il ne veut plus être parent, c’est trop dur d’être parent. Il préfère être enfant.

Vous voyez donc mes chers enfants combien nos parents nous aiment, eux ne peuvent pas démissionner. Ils ne démissionnent jamais, ils veillent sur nous, jour et nuit. Sous la pluie et sous le soleil.

Voilà l’amour.

L’amour, c’est aussi ce qu’on doit se donner à soi-même, je dois m’accorder de l’importance, prendre soin de moi, m’accorder du temps, une partie de mon argent.

Ma maman m’offre l’opportunité d’apprendre à préparer, d’apprendre à faire la vaisselle, d’apprendre à s’occuper de ma maison, et au même moment, un ami m’invite à aller se promener. L’amour de moi m’oblige à dire non, car lui dire oui c’est dire non à moi, non à mon avenir, à la réussite de mon foyer, non à mon bonheur dans mon foyer à moi demain.

Chaque fois que je dis oui aux autres, j’ai dit non à moi-même, j’ai manqué d’amour pour moi-même. Chaque fois que je gère mal mon argent, je dis non à ma réussite financière, chaque fois que je gère mal mon temps, je dis non à ma longévité, à ma santé, à mon avenir, chaque fois que je gère mal mes études, je dis non à mon avenir. L’amour de soi, c’est faire et toujours faire ce qui est bon pour moi, c’est m’accorder une bonne partie de ce qui est important pour moi.

L’amour des autres, c’est leur accorder une partie de ce qui est important pour moi, mes connaissances, un peu de mon argent, un peu de mon temps, ma considération etc. Lorsque maman m’offre la possibilité d’apprendre et qu’au même moment, un ami me propose une promenade, je dis non par amour pour moi et je l’invite par amour pour lui à venir profiter de la même formation. Si c’est bon pour moi, c’est bon pour lui.

Lorsqu’un ami m’a invité à fumer la cigarette, j’ai dit non par amour pour moi, mais je ne connaissais pas l’amour des autres, sinon je l’aurais aidé à ne pas fumer aussi. Lorsque mes amis enfants de ministres et de riches m’invitaient à détruire mon avenir j’ai dit non par amour

pour moi, mais je ne connaissais pas l’amour des autres sinon je les aurais invités à me suivre sur le chemin de la réussite.

Aujourd’hui, je connais l’amour des autres et c’est pourquoi je vous invite à suivre le chemin de la santé, de la longévité, du bonheur, de la prospérité. Je vous invite, mes chers enfants, mes beaux trésors à faire comme moi pour que demain vous ayez beaucoup de connaissances, d’argent et de joie à partager.

Aimer les autres, c’est aussi comprendre que la fraternité humaine,  le fait d’avoir des frères et sœurs dépasse les frontières de la famille, dépasse les frontières de la nation. L’Africain a le même sang qui coule dans ses veines que celui de l’européen. Celui qui s’aime et aime les autres ne différencie pas les êtres humains en fonction de la couleur de leur peau.

D’abord, je ne suis pas noir et personne ici n’est noir. Prenez quelque chose de noir et mettez à coté de votre peau, vous verrez que vous n’êtes pas noir. Le dictionnaire définit le noir comme ce qui est méchant, sale, sombre, mauvais etc. En disant que je suis noir, je dis que je suis méchant, mauvais, sombre, ténèbres, sale, plus jamais ça. Je suis africain, tu es africain et c’est tout. Aussi, l’européen n’est qu’un africain dont le climat a éclairci la peau. Nous sommes donc tous frères et nous devons nous aimer les uns les autres.